mercredi 21 octobre 2015

LE PEUPLE BASHI

LES BASHI



















Les historiens europeens qui ont etudie la region des bushi  :.Existing sources include works by Colle, Moeller,
Willame, and  Cuypers,Chubaka BISHI KWABO


UN DEBAT SUR LE MOUVEMENT MIGRATOIRE ET LA NOMENCLATURE DES PEUPLE DE KATIOPA

Les ethnolongues europeens semble diviser la population africaine .

* les cushiste
* les bantu
* nilothique
* Hamite
* kiosan
 ceci semble a mon humble avis un truc intelligent pour cacher l'origine nordique de peuple de l'afrique centrale .
Ainsi en creant un peuple bantu que l'on s'efforce de faire descendre de la reigion congo -niger ou du cameroun . On s'efforce a lui revir une partie de son histoire glorieux a savoir la vallee du NIl . Tous ces termes savanment concu pour donner une nouvelle identitee a l'homme de katiopa  sont des atteintes a sa capacitee imaginative et droit historique de savoir cequ'il est en realite .

geographie

Le bushi designe  donc ce territoire  situe  dans la sous region district du sud kivu  sur une surperficie  de 4.6000 km carre  entre le 2 degre et 2 , 80  degre de lattitude sud et entre 28, 20 degre et 29 de longitude est.


 Il est limite:

 * a l'est par la ruzizi  , le lac kivu  et par le rwanda .

 * a l 'ouest par les montange   forestieres et par le bulega ,

* au nord par la rivieve nyabarongo

* et par le buhavu et le burhinhyi , luhwindja et kaziba a l'ouest et sud ouest.

Le bushi couvre deux zone  administrative  : walungu  et kabare , plus une partie  des zones de mwenga , de kalehe  et bagira ( Bukavu).

* Le Bushi s'étend entre l'équateur au nord et le tropique du Capricorne au Sud.

* Il est logé dans les massifs de Mitumba sur le versant ouest du Rift Valley.

Ce positionnement dans les montagnes lui confère un climat doux et sec, mieux un climat d'altitude.
 En effet, l'air est légèrement sec au Bushi et les températures s'élèvent à un maximum de 28 °C contre un minimum de 18 °C. La moyenne annuelle est donc de 24 °C. Cette température douce donne un caractère agréable à toute la région du Bushi; jamais très chaud et jamais très froid.
On y connaît deux saisons: la saison de pluie, qui dure de mi-septembre à début juin, et la saison sèche.

Au Bushi il pleut régulièrement et le soleil est rarement très chaud. Les rares fois qu'il chauffe fort, il ne dépasse pas 28 °C. En conséquence, la végétation est quasi-verte pendant toute l'année.








les bashi aujourd'hui



Origine :

Il semble que l'origne des bashi trouve se racine en ouganda actuelle (http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/jafr_0037-9166_1969_num_39_2_1487#  )
MOELLE R assigne aux Bahutu et aux Bashi une origine commune dans l'actuel Uganda les deux groupes auraient migré vers le Sud, mais les Bashi seraient
passés à l'ouest du lac Kivu tandis que les  bahutu serait  reste' restés à l'est de ce lac et de sa continuation  méridionale dans la Hgne du graben : la vallée de la
Ruzizi et le lac Tanganika
  Les Bashi sont constitués  generalement  de trois ethnies différentes, mais qui par métissage ne se distinguent plus nettement : ce sont

*  les Bashi,
* les Baluzi  venus  de la regiond de mputu ou ankusum ( ethiopie  actuelle )  et
* les Batwa (ou pygmées),

  établi principalement dans le Bushi – ou territoire des Bashi – à l'extrême est de la République démocratique du Congo, sur les territoires de Walungu, Kabare, Mwenga et Uvira. Leur ville de référence est Bukavu.

le peuplement du bushi

mais  quand au dynastie  regnante nous  allons   ns arreter a  la lwindi ( a la frontiere ouest du bushi) qui la seule reconnue par toute les tradition orale de la region  .  envidement l'hypothese de croire que tous les ancetres sont arrivee au bushi au meme moment est invraissablable

origine des bukavu

Ancien territoire du royaume de Bashi (nom de pays de Bashi, ethnie shi).
Il était dirigé par le « muluzi » Nya lukemba, lors de l’arrivée des premiers Européens dans le Bushi à la fin du xixe siècle (Muluzi ou Baluzi au pluriel, veut dire « le noble ou noblesse chez le Shi.
La ville s'appelait Rusozi. Le nom Bukavu vient de la transformation du mot 'bu'nkafu' (ferme des vaches). Bukavu fut fondée en 1901 par les autorités coloniales belges.

» Banyabunge (ou Banyabongo, bungu, sobriquet que les Baluzi auraient donné aux
Bashi).
Actuellement, les Bashi, à l'exemple des Bahutu, sont maintenus par une  aristocratie de même type que les Batutsi, les  Baluzi
Au Ruanda-Urundi, les Bahutu vivent sous l'emprise  d'une minorité de pasteurs de type éthiopide, les  Batutsi, dont les caractères physiques sont fortement  tranchés ; on retrouve le même élément chez les Bashi,  sous le nom de Baluzi, formant une aristocratie très limitée qui détient les hautes charges.


Ethmologie

Le mot Shi désigne un habitant du Bushi. Ce territoire du Bushi est habité par les Bashi au pluriel, alors que le singulier est Mushi.  Ce mot aussi designe  literalement les habitant dans bas .
 la langue

La langue des habitants du Bushi est le mashi. « Shi » intervient donc plus comme un radical pouvant revêtir plusieurs préfixes et ainsi changer de sens. C'est donc une francisation qui a donné lieu au vocable « shi » qui est en fait un morphème.

Selon les sources on observe plusieurs variantes : Amashi, Baniabungu, Banyabongo, Banyabungu, Bashi, Nyabungu, Shis, Wanyambungi
Agriculture

Les Bashi pratiquent une agriculture de subsistance.

* Celle-ci tire PROFIT de la proximité des zones volcaniques dont le sol est très fertile et de son climat.

 * Ainsi au Bushi on récolte deux fois l'an pour les cultures de base. Ce sont principalement le haricot, le maïs, le sorgho, les patates (pommes de terre et patates douces), igname etc. Le manioc constitue une des plantes très répandues.
 La culture des bananes est très dominante.
 En effet, en milieu rural, chaque ménage possède ses champs et sa bananeraie. Les bananes sont de plusieurs types et remplissent plusieurs fonctions.
 Il existe un type de bananes destiné à faire l'alcool local, appelé Kasigsi. Un autre type est destiné à être mangé comme fruit, alors qu'un autre peut être cuit et mangé en accompagnement ou remplacement de la pomme de terre. Les plantains sont un autre type, et sont destinés à être cuit, mûrs ou quand ils sont encore verts.

Élevage

La vache est l'animal le plus élevé. Il constitue une richesse pour la famille et une référence sociale.

 Ainsi,le nombre de vaches que l'on possède donne un statut social visible. Lors des mariages, le jeune fiancé doit offrir des vaches en dot à sa belle famille.
La vache est élevée aussi pour produire du lait. Le lait est consommé frais ou converti en fromage. Le plus courant est du fromage blanc, nommé Mashanza .

Les Bashi sont fervents éleveurs de chèvres, de poules, et des petits bétails comme les lapins. Les dernières decades ont vu s'accroître l'élevage des porcs.



Organisation sociale

Les bashi sont organisés dans un système  décentralisé.
 Ainsi chaque ménage est détenteur d'un terrain sur lequel il établit sa résidence et y pratique les cultures nécessaires pour sa subsistance. Au Bushi, acheter de la nourriture est signe de pauvreté.

Sur le plan politique,

 les bashi sont regroupés en plusieurs royautés souveraines.

 Il en existe neuf (Burhinyi, Kaziba, Lwindi, Ngweshe, Kabare, Nindja, Idjwi, Chinda, Luhwindja). Ces royautés sont dirigées par un Mwami.

Les plus connus sont le Mwami Bashengezi Muganga (NaBurhinyi), Chimanye Nakaziba, NGWESHE – XV WEZA – III Pierre J-M.J. NDATABAYE – MUHIGIRWA, Kabare, NaNidja, NaLuhwindja,...

le mwami habitait dans son bwami ( capital ) dont la cours  obeissait a une achitecture speciale lie a laspiritualite et aux mythe fondateur  avec les notable  appeler les baluzi et les fonctionaire appeler les baganda  . le  chef des guerre ngabu ,  Il yavait occasionellment dans la cours  maison  des gouverneurs appeler les bathambo .
il y avait aussi des coutisant appeler basengezi et les balonyi qui exercer les pouvoir religieux.
* Dans la gestion de son pouvoir, le mwami est secondé par un conseil de sages, un parlement représentant non seulement sa cour, mais aussi chacun des groupements composant sa royauté.

Pour l'administration courante, chaque royauté est divisé en groupement.

En guise d'exemple, Ngweshe est constitué de 16 groupements (Walungu, Izege, Ikoma, Lurhala, Kaniola, Mulamba, Mushinga, Muzinzi, Nduba, Nyangezi, Kamisimbi et ...). Chaque groupement est dirigé par un représentant du Mwami, un chef de groupement, qui exerce son pouvoir par délégation. Le groupement est à son tour subdivisé en villages, dont chacun est dirigé aussi par un représentant du Mwami. À ce niveau, le pouvoir du Mwami est très proche des administrés dans la mesure où c'est à celui-ci qu'il revient d'assurer la justice distributive au nom du Mwami. Il répartit et octroie des terres aux habitants, il assure la cohabitation et organise la sécurité dans les quartiers du village.

Économie
Outre les richesses liées à l'élevage et à l'agriculture, le Bushi est une réserve de minerais de cassitérite, d'or, de colombite-tantalite (coltan). On estime à plus de 100 ans la période humaine d'exploitation des ressources du sous-sol du Bushi. La colonisation belge a permis aussi l'érection dans le Bushi de plusieurs plantations et usines de traitement du thé, du café, du quinquina (Pharmakina, Gombo, Nyandja, l'usine à chaux de Miranga).

Les centres de recherches sont diversifiés : recherche pharmaceutique, recherche en phytothérapie, recherche agricole (INERA), en séismologie (Lwiro), etc.

Mariage  chez les bashi

Chez les bahsi de l'est de la République démocratique du Congo, la dot est traditionnellement constituée de têtes de bétail, dont le nombre est âprement négocié par les deux familles. Cette coutume avait pour but à l'origine de resserrer d'avantage les liens entres les clans ainsi alliés et de compenser le départ de la jeune fille. Mais aujourd'hui, certains observateurs dénoncent ce qu'ils considèrent comme un marchandage pour "acheter" la mariée. Et ils réclament une adaptation de la tradition au contexte actuel.


 Histoire
 Nous ne pouvons pas bien comprendre l'histoire glorieuse des peuple bashi si nous ne comprenons pas le mythologie

des peuple cwezi GU EZI OU GUENI

Nous sommes sur les hauts plateaux de l'Afrique centrale et orientale, qui s'étendent entre les lac Mobutu (ex-Albert) au nord, Edouard ( ngezi ) et Kivu à l'ouest, Victoria ( bukarebwe )  à l'est, Tanganyika au sud. Dans cette région favorable à l'élevage du gros bétail, des pasteurs et des agriculteurs se sont rencontrés au sein de royaumes d'importance variable, qui n'ont pas résisté aux tourmentes de la décolonisation. Au Nyoro et au Nkole (Ouganda), une tradition orale remarquablement constante fait état d'un âge d'or – celui du royaume de Kitara – associé au peuple cwezi disparu dans des circonstances mystérieuses, en s'enfonçant sous terre ou dans un lac. Ces personnages légendaires communiquent cependant toujours avec des initiés, hommes ou femmes, qui sont leurs médiums (mbandwa).


comme les successeurs (par l'intermédiaire d'une femme) d'une dynastie précédente, celle des Tembuzi. Ce qu'il y a de remarquable, c'est que les Cwezi comme les Tembuzi sont des créatures associées au monde chthonien ( Mystique ) .
Nyami-yonga ( mwami yonga) le maître du royaume inférieur, désira conclure un pacte du sang avec Isaza ( Isa wa nza), le premier roi tembuzi de Kitara.
Hésitant, Isaza se fit remplacer par son serviteur Bukuku. Furieux, Nyamiyonga dépêcha sa fille auprès de Isaza avec mission de le séduire.
Enceinte de six mois, la belle retourna dans le monde souterrain où, trois mois plus tard, elle mit au monde un fils, Isimbwa. Pour attirer auprès de lui le père de l'enfant, Nyamiyonga lui envoya un couple de bovins, qui entraîna bientôt Bihogo, la vache préférée de Isaza, dans le monde inférieur.
Isaza suivit sa vache et c'est ainsi qu'il retrouva sa femme et son fils auprès desquels il demeura. Devenu adulte, Isimbwa décida de découvrir le royaume terrestre que son père avait confié à la garde de Bukuku.
 Des devins avaient annoncé à celui-ci que sa fille lui porterait malheur. C'est pourquoi il la tenait enfermée dans sa maison après lui avoir fait couper un sein et arracher un oeil.

Isimbwa parvint jusqu'à elle déguisé en chasseur et la séduisit. Elle mit au monde un fils, Ndahura.
Bukuku fit jeter le nouveau-né dans la rivière, mais un potier le sauva et l'éleva.
Plus tard, Ndahura tua son grand-père maternel et reprit possession du trône que celui-ci avait usurpé. Ndahura fit de nombreuses conquêtes militaires.
Son père Isimbwa vint le rejoindre et confirma sa légitimité ; Ndahura lui confia le gouvernement de deux provinces. L'empire de Kitara s'étendit sur une large partie de l'Ouganda occidental englobant notamment le Nkore.
Ndahura disparut au cours d'une campagne en Tanzanie, il fut mystérieusement avalé par la terre.
Wamara, le fils aîné de Ndahura, qui avait partagé le pouvoir avec son père, prit la succession. Il mit fin à diverses rébellions, mais son règne fut troublé. Une série de présages funestes annoncèrent la fin des Cwezi. Ils décidèrent alors de quitter le pays.
LA FIN DES CWEZI

 Mugenyi, le neveu de Wamara avait fait serment de ne pas survivre à sa vache préférée, Bihogo. Or celle-ci mourut et Wamara décida de consulter les auspices. Ceux-ci découvrirent que Bihogo n'avait pas d'entrailles. Ils n'osèrent révéler cette terrible nouvelle à Wamara. Un étranger s'en chargea, prophétisant que le règne des Cwezi était terminé
Mugenyi semblait avoir oublié son serment de mourir avec la vache. Ce parjure eut le don d'irriter sa propre tante. Humilié par les propos désagréables qu'elle lui tint, Mugenyi prit la décision de quitter ce pays maudit où les femmes osaient se moquer des hommes.
Wamara approuva la décision de son neveu et tous les Cwezi se rallièrent au projet de départ. Ils rassemblèrent leurs femmes, leurs troupeaux et leurs biens. Ils s'en allèrent et on ne les revit plus jamais au Nkore

Deux chefs, Irungu ( Ilungu ) (devenu esprit de la brousse) et Mugasha ( Muganza ) (devenu esprit du lac) vivaient avec Wamara. Un chacal glapit dans la cour à minuit.
Wamara décida de le poursuivre avec ses deux compagnons. Le chacal entraîna les chasseurs en forêt, puis dans un souterrain conduisant au royaume infernal du roi Kintu (appelé Kintu d'Igaba).
Kintu offrit des cadeaux à Wamara : de la bière de banane, du lait, des vaches et des chèvres.
 Les terriens restèrent neuf jours auprès de Kintu. Mugasha fit une provision de semences de légumes et ils retournèrent sur terre nantis de ces présents.
Kintu cependant avait recommandé à Wamara de ne pas oublier son hôte généreux.
En voyant sortir des vaches du souterrain, les hommes de Wamara furent effrayés, puis émerveillés. Wamara confia le bétail à la garde de son frère aîné Ryangombe.
Des années passèrent et Wamara ne remercia pas Kintu. Au contraire, il fit boucher l'entrée du souterrain. Alors Kintu envoya Rufu, la mort, qui réclama les vaches. Wamara, loin de s'exécuter, fit rouer de coups le messager de Kintu. Rufu s'enfuit mais réussit plus tard à attirer une vache blanche, particulièrement précieuse, dans une fosse marécageuse. Or, jadis, Wamara avait fait le serment de mourir avec elle. Il se jeta dans le gouffre avec Irungu et tous ses compagnons. Ils ne réapparurent plus jamais, mais jusqu'à nos jours les fidèles initiés aux mystères religieux de Wamara sont périodiquement visités par les esprits des Cwezi disparus.
 comme il n'ya pas de charniere claire dans l'histoire des migration des bashi es ce que cette histoire de cwezi ne constitue  t elle pas  ce missing link dans la continuite historique de la region de grand lac? Entout cas nous allons prendre ce chemin pour relier les bashi et les ba cwezi surtout que nous savons que les bashi etait organiser en 7 "royaume" dont ngweshe est l'une des organisation .

Vers les annees 1880

le bushi etait compose' de 7 royaumes , dont 4 principaux a savoir :   Ngweshe , Katana , Karhongo, kabare , kaziba , burkiny , kalonge . sont etandue geographique est sujet des contreverses avait ecrit  bernard lugan. unite ethnique de bashi n'impliquer pas neccessairement une unite politique . Car les  langues , moeurs , croyance religieuse, institue l'unite bashi.

L'arrivee des luzi au bushi

Le royaume shi, comme  tous les  la region , resulte d'une conquette politique de baluzi .
Malgres son caractere  officiel , cette tradition  reconnait  l'existance  d'une organisation politique  preexistante  mais qui fut evincee.

 Lorsque la vielle Namuhoye arriva de la derniere colline , elle se tourna vers la foule qui la suivait. Ils etaient mille et mille , avec leur vache aux cornes demesuree . Homme vetus d'ecorce battue , femme pilee sous les charge , petit  bergers nus poussant leur lent troupeaux  vers les terres nouvelle . dans  des nasse  d'herebe  calfeutrees de bousse , des femme -fille aux reins couverts des tresse blanche  potaient  les  graines .
 il etaient mille et mille Bahese , banachidaha , banya lwisi , barhembo, bahugarwa , batwa-lushuli , bahangarwa , banya mibisa et balina .
tous serviteurs et client  des famille des sept fils que Namuhoye avait eu  d'un enfant trouve  dont Nlwindi avait fait son chasseur  favori .
Vieille  et courbee dans sa peau de chevre  , elle leur montrait l'horizon de son grand Mohorho . Dans les plis clairs de sa peau  parcheminee , deux petits yeux brillaient d'une luieur prophetique ,
 Baluzi peuple  de mes sept fils , leur dit  elle par  de la la riviere , voici devant vous les collines  fertile du bushi . Les habitant  y sont  peureux et opprimes par des chefs injuste et maladroit .Regarder  ce champs ou vous semerez le sorgho
 De la crete , il regarderent  longuement  jusqu'au soleil  couchant . Puis ils firent  tourner  les baguette pour  allumer le feux .
Le soir  il s'endormie en pensent  aux nouvelle  terres que leur avait donnee l'ancetre .
 Mais  a l'aube  Namuhoye etait morte .Pendant  que les uns  chassaient ,Kalunzi , Nachinda  et Norana,  trois des ses fils  creusent un trou pour y jeter le corps casse ' de leur mere . Mais  la coutume  interdit  au fils  d'enterrer  sa mere .
C'est pourquoi  ils furent maudits par leur aine Kabare - Kaganda .  Na luanda  accompagna  kabare - kaganda  au bushi . Montant la kazinzi , ils ariverent  a Luvumbu chez Mulenga  du nom de Changu qui descendait  d'anciens  emigrant .
Pas plus que  ses sujets , ce potentant  n'avait  vu pareille abondance des vaches et des graines .
les habitant  firent donc  tres bon accueil aux emigrant et les batwa de changu  etonnes d'une telle  opulence  ,leur  accorderent  plus de confiance  qu'en leur propre maitre .
un matin , deux batwa rencontrant  Kabare -kaganda  sur le chemin des porteurs , lui firent leurs doleance a propos d'un ami du Mwami  local qui les avait spolie .Eh dit kabare :" aux pauvre  ses objets , au puissant les siens"  .

cet avis plut aux auditeur  qui raconterent  partout  que les etrangers rendait  mieux  justices aux pauvres que les Mwami.
Suivons  ces freres , se disaient  ils , nous  boirons  le lait  de leur  vache s  et y mangerons  a satiete .
C'est alors que Kabare Kaganda  se rendit chez le Mwami Nashi . En honneur de son hote , celui ci  fit querir des boissons . Elles me seraient  plus agreable Nashi , dit kabare  si tu allais  les  chercher toi meme . Et pendant la courtr abscence  du chef , il s'assit sur son siege  au milieu des applaudissement du peuple , Nous te faisons Mwami  lui dirent les batwa .
Usant  du meme subterfuge , kabare etendit son pouvoir sur les regions  voisines . Les chefs depossedes ne garderent  de leur  anciennes preorogatives que le droit de porter au front  un diademe  et d'acceder aux cimetiere des baluzi .
Ayant reuni sous son autorite toute la regon , kabare kaganda  se fit appeler  NABUSHI  , cad possesseur du BUSHI.



scission du royaume de kabare
Le conflit interne le plus remarquable fut la seconde scission du royaume de
Kabare en 1860.
 Bigomokero, ayant été envoyé par son père Makombe-Kabare
pour combattre les Bahavu du Nord (dans l'espoir d'obtenir compensation, au
détriment de ce dernier, à la perte des terres conquises par Ngweshe, à l'Ouest),
remporta la bataille et proclama indépendantes les terres qu'il conquit. La
tentative de son père pour les récupérer permit à Bigomokero d'en conquérir
d'autres au détriment de celui-ci. Ce fut le début de la principauté d'Irhambi ou
Karhana qui ne perdit son indépendance vis-à-vis de Kabare que par suite de la
décision coloniale de 1929

 DECLIN

Les guerres qui opposaient Etat à Etat (nombreuses au cours
de ce siècle entre Kabare et Ngweshe, entre Kaziba-Burhinyi et Luhwindja, entre Kalonge et Nindja) avaient pour but soit les razzias, soit l'annexion des terres.


Les ennemis étrangers ont certainement profité de ces rivalités et ont tenté
plusieurs fois de s'imposer sur «un Bushi» désuni. Parmi eux, le plus important
fut le Rwanda sous Rwabugiri, qui attaqua le Bushi trois fois de suite au cours de la deuxième moitié du XIXe siècle.

Un réflexe inattendu de solidarité entre
Etats Shi permet de repousser définitivement les Banyarwanda vers 1894. C'est après cette défaite du Rwanda et sur la route du retour que Rwabugiri mourut.

L'INFLUENCE DES ARABISEE AU 19 SIECLE

L'offensive du mwami Muganga de Burhinyi contre le mwami Kabuka de Lwindi,  vers 1860, se solda par la victoire de ce dernier.

 Vers 1890, Cimanye de Kaziba dut repousser des razzias organisées contre son territoire par Nya-Mugira du Bufuliru, aidé par des arabisés. Cimanye 1er ne mettra fin aux ambitions de ces  derniers que l'année suivante, lorsqu'il battit Bakari, agent de Rumaliza.
Depuis  lors, les Swahili durent se contenter d'échanges pacifiques avec Kaziba, et de   préférence en agissant par des intermédiaires .

Les arabisés furent aussi refoulés des frontières ouest du Bushi par une coalition des Bashi de Burhinyi et des Balega en fuite et réfugiés chez ces derniers  .

Les conquêtes territoriales extérieures les plus importantes à signaler sont
l'annexion de Karhongo qui deviendra plus tard Nya Ngezi, au Sud, dans la seconde moitié du XIXe siècle par Chirhahongerwa-Ngweshe, au détriment  d'un certain Namu kumbugushu, alias Ntale, allié au souverain du Burundi .

Vers 1815, Kabonwa I-Nakaziba avait annexé Kashanga, un village du Bufuleru,
tandis qu'au Nord, nous avons déjà signalé l'occupation par Bigomokero d'une
large bande de terres havu situées entre les rivières Langa et Nya Barongo.
Depuis des siècles, le Kivu comptait des royaumes bien organisés, gérés, gouvernés et solidement défendus.

CES GUERRE N'ETAIT PAS DES LONGUE GUERRE

Ces «guerres» que nous venons de signaler et
dont certaines n'ont d'ailleurs duré qu'un jour, n'avaient pas affecté tous les Etats de la même façon. Les Etats du Sud et du Sud-Ouest en particulier ont
connu pendant cette période une économie florissante,

ECONOMIE DU 19 SIECLE


Cependant, bien avant ces contacts, certains Etats du Bushi, en l'occurence
Kaziba, pratiquaient le commerce à longue distance.

*Les Bashi importaient  du bétail destiné surtout à la boucherie, du Rwanda et du Burundi,

*du sel minéral et du fretin du Bufuleru, de l'ivoire, du caoutchouc et des perroquets du Bulega, des perles, des cotonnades, du sel, des poissons introduits par lesSwahili

Tous ces biens étaient échangés soit contre les houes et les bracelets en fils
de laiton (burhege), considérés comme une monnaie à l'époque,
soit contre des armes, des ustensiles de cuisine, des vivres, des cuirs de vache tannés (servant d'habits). Le caoutchouc, l'ivoire, les perroquets et aussi les esclaves étaient les principaux produits recherchés par les Swahili.

la justice royale à l'endroit des malfeteurs les systèmes des prêts et des avances entre camarades d'échange .


LA SPIRITUALITE BASHI


Bine que le culte de kubandwa ete tres present dans la pensee des bashi . Les bashi avait une unite de croyance en Nya muzinda .


croyances religieuses (croyance en un Etre suprême, Nyamuzinda, honoré par l'intermédiaire de grands esprits Bazimu dont le plus important au XIXe siècle était Lyangombe, les cultes des ancêtres, les mêmes formules et prières religieuses),
Nyamuzinda etait un etre supreme et incree qui a toujours existe et existera toujours. il est le maitre de l'univers parceque delui procede toutes les creatures., il donc la cause premiere  de toutes choses ." Les bashi disent:" izino ye muntu  cad le mon c'est la personne "
 Naymizinda  veut dire  litteralement celui qui est la ou tout fini  celui ou tout abouti

le bashi croyaient a la survivance de la vie apres la mort , et aux rapport entre les viant et les trepasse'
 apres la mort un muzimu va rejoindre les bazimu en passant par le long chemin de okomuzimu sous la terre ou il n'ya ni soleil ou chaleur

le culte des ancetres etait rrendu  au bon et au mauvais  esprit . Au bon on leur demande une benediction et au mauvais on leur implorer de calmer leur colere

six mois apres l'enterrement la famille du defin construisait une petite habitation  a cote de la maison que l'on appele le Imgombe en honneur du defun.  ce lieu se trouve generalement  a cote d'un grand arbre qui symboliser le sanctuaire domestique , devant ce temple on s'acquitera de devoir de peite  car le defun est senser etre avec les siens

le bujinji

c'est les cimetiere de baluzi  les grand chef et le ba goli les femme des grand chef   , on y plante des arbres qui subissent une interdiction etre coupe pour le chauffage  . On leur rend parfois des  sacrifices personnel

chaque annee entre le moi d'avril et de mars  il avait une culte special qui etait rendu au mort l'ors des fetes de Mubande  ou on consulte les ancetres pour savoir si le roi reignent devrait rester au pouvoir au non . Cette aussi associer a la fete fe semaille