Londres: Le général Kagame aurait échappé de justesse au lynchage de la diaspora congolaise (04.11.09)
Face aux résistants/combattants congolais, Paul Kagame a dû sans le moindre sang-froid, prendre immédiatement la fuite. Qu´est-ce qui a dû se passer réellement à la Bourse de Londres?
Selon nos sources de Londres, en Grande Bretagne, le criminel de guerre au pouvoir à Kigali au Rwanda, en l´occurrence Paul Kagame, a dû effectuer secrètement en ce week-end de Toussaint, un voyage dans la capitale britannique, où, selon son programme, il devait entre autre, se rendre à The London Stock Exchange, c´est-a-dire à la Bourse de Londres; afin d´y négocier avec ses responsables, les prix des matières premières stratégiques que sont notamment: le pétrole, le coltan, mais surtout, l´uranium. Il importe cependant de faire remarquer à l´opinion que, le pays que dirige d´une main de fer et dans la terreur ce bonhomme depuis quinze ans, à savoir le Rwanda, ne regorge dans son sous-sol, ni aucun gramme, ni le moindre baril desdites matières premières de base.
En effet, les résistants/combattants congolais de Grande Bretagne, en particulier, ceux vivant dans la grande agglomération de Londres, toujours bien renseignés sur les entrées et les sorties des Congolais ou des Africains - ordinaires ou officiels - en terre britannique; prirent connaissance en début de week-end de Toussaint, de la présence inopportune du Boucher de Kigali, entendu Paul Kagame; dans ce qu´ils considèrent désormais comme leur chasse-garde, où d´indésirables visiteurs officiels ou pas, ne peuvent fouler leurs pieds, au risque de se voir très sévèrement sanctionnés. Paul kagame, ennemi publique numéro un des Congolais, prévoyait effectivement de débarquer à la Bourse de Londres dans les après-midi de ce mardi 2 novembre 2009 pour des pourparlers, mais sûrement alerté par ses services de l´éventualité de l´embuscade que pourraient lui tendre les résistants congolais à cette heure-là de la journée, afin en découdre avec lui, a tenté de brouiller les cartes. Celui-ci croyant plus malin, en voulant prendre les combattants au dépourvu, a dû changé son programme pour la matinée sur le coup de 10 heures GMT, et aussi l´heure locale.
En effet, contre toute attente et à sa grande surprise, il découvrait que c´était plutôt lui qui avait été pris au dépourvu en tombant à son propre pièce. Étant donné que les résistants/combattants congolais étaient déjà là sur le théâtre de l´opération, et l´attendaient de pieds ferme, afin de lui infliger un lynchage bien mérité. Ainsi, lorsqu´il fit son apparition sur le lieu en sortant de sa voiture, trois vaillants résistants/combattants de première heure se hâtèrent lui sauter dessus. Étonnant paradoxe: Paul Kagame, qui s´est toujours semble-t-il pris pour un brave, oublia cependant son fameux titre de président de la République du Rwanda, en se sauvant. C´est-à-dire qu´en bon Inkotanyi d´autrefois, il prit immédiatement le soin d´user de ses réflexes d´ancien rebelle, en prenant sans autre forme de procès la poudre d´escampette. Paul Kagame, né assurément sous une belle étoile échappa de justesse au lynchage et à l´humiliation lui réservés. Aussitôt après cette fuite sans ne fus-ce qu´un minimum de sang-froid, la Police britannique alertée, fit sa descente sur le lieu pour s´enquérir de la situation et rétablir l´ordre, sans toutefois procéder à aucune arrestation.
C´est ainsi donc que de là, les résistants/combattants prirent droit le chemin du Home Office et du Foreign Office, respectivement Ministère britannique de l´Intérieur et Ministère britannique des Affaires étrangères, mais aussi de l´Ambassade du Congo, où un mémorandum fut déposé près de l´autorité britannique, lui notifiant que Paul Kagame, qui a du sang des millions de Congolais et de Rwandais sur ses mains, n´est pas le bienvenu en Grande Bretagne, et que sa visite ne peut à leurs yeux constituer rien d´autre qu´une pure provocation, qui ne pourrait que trouver son juste retour du bâton. Il appartient donc à l´autorité compétente de prendre désormais ses dispositions pour leur éviter de faire un malheur. Voici pourquoi, Paul Kagame, humilié, et sans attendre plus longtemps, a dû écourter sa visite en rebroussant précipitamment chemin sur la pointe des pieds pour Kigali, dans la même soirée mardi.
Comment peut-on donc expliquer le fait que Paul Kagame soit l´interlocuteur désigné de la fameuse Haute finance internationale, alors que son pays le Rwanda ne regorge aucun des minerais susmentionnés? Complicité avérée...
Ironie du sort oblige, car contrairement aux réalités géologiques et à l´inexistence
dans le sous-sol rwandais de ces ressources minières, Paul Kagame semble malgré tout être, la personne la mieux désignée avec laquelle discuter de ces genres de magouilles sans scrupules, pour une certaine Haute finance internationale baignant dans un inqualifiable cynisme primaire; au service de laquelle oeuvrent en toute impunité, une panoplie de véreux hommes politiques occidentaux tels que: le Belge Louis Michel et Tony Blair, pour ne citer que ces deux-là. Quant au premier cité, ex-commissaire européen à l´Aide humanitaire et au Développement, ou encore, ex-ministre belge des Affaires étrangères. Et le second lui, ex-Premier ministre britannique, actuellement l´un des deux candidats en lisse à la présidence de la Commission de l´Union européenne.
Au fait, ces deux Éminences grises européennes, sous de farfelues couvertures, du type de son African Governance Initiative (AGI), - véritable offine à multiples desseins - s´agissant de Tony Blair, tiennent à bras le corps ce régime de terreur en qualité de soi-disant Conseiller spécial. D´ailleurs, c´est le cas de le dire, selon une récente publication de Financial Times, le célèbre le journal économique britannique, Vindrush Ventures N0 3, cette fameuse boîte de partenariat très rentable mise sur pieds par Tony Blair, financée par plusieurs donateurs de fonds, dont la Fondation Bill et Melissa Gates, d´où proviendraient en partie les financements nécessaires aux opération de soutien au Rwanda, au Libéria, au Sierra-Leone; serait caractérisée par une opacité qui cacherait peut-être des malversations financières sur des juteux bénéfices réalisés et non déclarés, qui prendraient des destinations inconnues.
Ceci dit, venons-en à la grande <<>> qui bien la peine d´être posée en ces termes: d´où proviennent-ils donc ces virtuels minerais que ne possède pas le Rwanda, mais que grâce auxquels, Paul Kagame, se fait tout bonnement recevoir sur ce marché des matières premières pour des soi-disant pourparlers? Faut-il ainsi être si naïf et ne pas être en mesure d´y répondre? La réponse en est claire comme l´eau de roche: le Congo voisin. Car, victime du gangstérisme d´État du Gouvernement rwandais qui pratique la razzia sur ses richesses minières, économiques et autres, le Congo est en proie à de récurrentes guerres d´agression et de prédation lui imposées depuis treize ans par deux États-voyous de son environnement régional que sont: le Rwanda et l´Ouganda. Eux-mêmes soutenus, financés à leur tour par des puissances occidentales et la Haute finance internationale. La sinistre visite avortée de Paul Kagame à la Bourse de Londres nous en fournit une fois de plus une indéniable et palpable preuve, en mettant à nu la complicité entre ce bonhomme et ses hôtes londoniens..
Soutien sans faille au chef du régime génocido-militariste, et ce, en dépit de tous les odieux crimes de guerre et crimes contre l´humanité dans son actif. Chez lui au Rwanda, et surtout au Congo voisin, où le macabre bilan de ses criminels faits d´arme, selon des sources internationales dont les Nations unies, avoisinerait déjà les six millions d´innocentes victimes en treize de guerre injustement imposée à son peuple martyr. On extermine sans états d´âme des populations entières congolaises, pour s´abreuver au mépris de l´éthique de: leurs richesses du sol et du sous-sol. Le tout, se produisant comme si l´Afrique ne comptait ou ne compte guère, d´autres fils dignes et immaculés à conseiller tels: l´ex-président ghanéen John Kouffor, dont l´action et les efforts - pendant ses années de pouvoir - méritent d´être saluer. Lesquels ont permis, soulignons-le, au Ghana de bien amorcer le virage pour son développement économique, et de poser de vraies bases pour l´instauration d´une démocratie participative à l´africaine et d´un État de droit.
De toute évidence, dans le cadre de ce cauchemar infligé au Congo pour le contrôle de ses diverses richesses minières, les masques continuent décidément de tomber. Car l´on voit plus clairement, au-delà de ces minables dirigeants tutsis rwandais et ougandais sans foi ni loi, que l´on manipule comme des vulgaires marionnettes pour semer mort et désolation chez leurs voisins congolais, qui en sont les vrais commanditaires, et à qui profitent réellement tous ces crimes. Justice divine étant, soyez-en sûrs, vous serez tôt ou tard rattrapés par vos crimes, et l´Histoire vous jugera tous le moment venu.
Que Dieu bénisse le Congo et garde son peuple!
Pépin Lulendo
Le 02 novembre 2009
Face aux résistants/combattants congolais, Paul Kagame a dû sans le moindre sang-froid, prendre immédiatement la fuite. Qu´est-ce qui a dû se passer réellement à la Bourse de Londres?
Selon nos sources de Londres, en Grande Bretagne, le criminel de guerre au pouvoir à Kigali au Rwanda, en l´occurrence Paul Kagame, a dû effectuer secrètement en ce week-end de Toussaint, un voyage dans la capitale britannique, où, selon son programme, il devait entre autre, se rendre à The London Stock Exchange, c´est-a-dire à la Bourse de Londres; afin d´y négocier avec ses responsables, les prix des matières premières stratégiques que sont notamment: le pétrole, le coltan, mais surtout, l´uranium. Il importe cependant de faire remarquer à l´opinion que, le pays que dirige d´une main de fer et dans la terreur ce bonhomme depuis quinze ans, à savoir le Rwanda, ne regorge dans son sous-sol, ni aucun gramme, ni le moindre baril desdites matières premières de base.
En effet, les résistants/combattants congolais de Grande Bretagne, en particulier, ceux vivant dans la grande agglomération de Londres, toujours bien renseignés sur les entrées et les sorties des Congolais ou des Africains - ordinaires ou officiels - en terre britannique; prirent connaissance en début de week-end de Toussaint, de la présence inopportune du Boucher de Kigali, entendu Paul Kagame; dans ce qu´ils considèrent désormais comme leur chasse-garde, où d´indésirables visiteurs officiels ou pas, ne peuvent fouler leurs pieds, au risque de se voir très sévèrement sanctionnés. Paul kagame, ennemi publique numéro un des Congolais, prévoyait effectivement de débarquer à la Bourse de Londres dans les après-midi de ce mardi 2 novembre 2009 pour des pourparlers, mais sûrement alerté par ses services de l´éventualité de l´embuscade que pourraient lui tendre les résistants congolais à cette heure-là de la journée, afin en découdre avec lui, a tenté de brouiller les cartes. Celui-ci croyant plus malin, en voulant prendre les combattants au dépourvu, a dû changé son programme pour la matinée sur le coup de 10 heures GMT, et aussi l´heure locale.
En effet, contre toute attente et à sa grande surprise, il découvrait que c´était plutôt lui qui avait été pris au dépourvu en tombant à son propre pièce. Étant donné que les résistants/combattants congolais étaient déjà là sur le théâtre de l´opération, et l´attendaient de pieds ferme, afin de lui infliger un lynchage bien mérité. Ainsi, lorsqu´il fit son apparition sur le lieu en sortant de sa voiture, trois vaillants résistants/combattants de première heure se hâtèrent lui sauter dessus. Étonnant paradoxe: Paul Kagame, qui s´est toujours semble-t-il pris pour un brave, oublia cependant son fameux titre de président de la République du Rwanda, en se sauvant. C´est-à-dire qu´en bon Inkotanyi d´autrefois, il prit immédiatement le soin d´user de ses réflexes d´ancien rebelle, en prenant sans autre forme de procès la poudre d´escampette. Paul Kagame, né assurément sous une belle étoile échappa de justesse au lynchage et à l´humiliation lui réservés. Aussitôt après cette fuite sans ne fus-ce qu´un minimum de sang-froid, la Police britannique alertée, fit sa descente sur le lieu pour s´enquérir de la situation et rétablir l´ordre, sans toutefois procéder à aucune arrestation.
C´est ainsi donc que de là, les résistants/combattants prirent droit le chemin du Home Office et du Foreign Office, respectivement Ministère britannique de l´Intérieur et Ministère britannique des Affaires étrangères, mais aussi de l´Ambassade du Congo, où un mémorandum fut déposé près de l´autorité britannique, lui notifiant que Paul Kagame, qui a du sang des millions de Congolais et de Rwandais sur ses mains, n´est pas le bienvenu en Grande Bretagne, et que sa visite ne peut à leurs yeux constituer rien d´autre qu´une pure provocation, qui ne pourrait que trouver son juste retour du bâton. Il appartient donc à l´autorité compétente de prendre désormais ses dispositions pour leur éviter de faire un malheur. Voici pourquoi, Paul Kagame, humilié, et sans attendre plus longtemps, a dû écourter sa visite en rebroussant précipitamment chemin sur la pointe des pieds pour Kigali, dans la même soirée mardi.
Comment peut-on donc expliquer le fait que Paul Kagame soit l´interlocuteur désigné de la fameuse Haute finance internationale, alors que son pays le Rwanda ne regorge aucun des minerais susmentionnés? Complicité avérée...
Ironie du sort oblige, car contrairement aux réalités géologiques et à l´inexistence
dans le sous-sol rwandais de ces ressources minières, Paul Kagame semble malgré tout être, la personne la mieux désignée avec laquelle discuter de ces genres de magouilles sans scrupules, pour une certaine Haute finance internationale baignant dans un inqualifiable cynisme primaire; au service de laquelle oeuvrent en toute impunité, une panoplie de véreux hommes politiques occidentaux tels que: le Belge Louis Michel et Tony Blair, pour ne citer que ces deux-là. Quant au premier cité, ex-commissaire européen à l´Aide humanitaire et au Développement, ou encore, ex-ministre belge des Affaires étrangères. Et le second lui, ex-Premier ministre britannique, actuellement l´un des deux candidats en lisse à la présidence de la Commission de l´Union européenne.
Au fait, ces deux Éminences grises européennes, sous de farfelues couvertures, du type de son African Governance Initiative (AGI), - véritable offine à multiples desseins - s´agissant de Tony Blair, tiennent à bras le corps ce régime de terreur en qualité de soi-disant Conseiller spécial. D´ailleurs, c´est le cas de le dire, selon une récente publication de Financial Times, le célèbre le journal économique britannique, Vindrush Ventures N0 3, cette fameuse boîte de partenariat très rentable mise sur pieds par Tony Blair, financée par plusieurs donateurs de fonds, dont la Fondation Bill et Melissa Gates, d´où proviendraient en partie les financements nécessaires aux opération de soutien au Rwanda, au Libéria, au Sierra-Leone; serait caractérisée par une opacité qui cacherait peut-être des malversations financières sur des juteux bénéfices réalisés et non déclarés, qui prendraient des destinations inconnues.
Ceci dit, venons-en à la grande <<>> qui bien la peine d´être posée en ces termes: d´où proviennent-ils donc ces virtuels minerais que ne possède pas le Rwanda, mais que grâce auxquels, Paul Kagame, se fait tout bonnement recevoir sur ce marché des matières premières pour des soi-disant pourparlers? Faut-il ainsi être si naïf et ne pas être en mesure d´y répondre? La réponse en est claire comme l´eau de roche: le Congo voisin. Car, victime du gangstérisme d´État du Gouvernement rwandais qui pratique la razzia sur ses richesses minières, économiques et autres, le Congo est en proie à de récurrentes guerres d´agression et de prédation lui imposées depuis treize ans par deux États-voyous de son environnement régional que sont: le Rwanda et l´Ouganda. Eux-mêmes soutenus, financés à leur tour par des puissances occidentales et la Haute finance internationale. La sinistre visite avortée de Paul Kagame à la Bourse de Londres nous en fournit une fois de plus une indéniable et palpable preuve, en mettant à nu la complicité entre ce bonhomme et ses hôtes londoniens..
Soutien sans faille au chef du régime génocido-militariste, et ce, en dépit de tous les odieux crimes de guerre et crimes contre l´humanité dans son actif. Chez lui au Rwanda, et surtout au Congo voisin, où le macabre bilan de ses criminels faits d´arme, selon des sources internationales dont les Nations unies, avoisinerait déjà les six millions d´innocentes victimes en treize de guerre injustement imposée à son peuple martyr. On extermine sans états d´âme des populations entières congolaises, pour s´abreuver au mépris de l´éthique de: leurs richesses du sol et du sous-sol. Le tout, se produisant comme si l´Afrique ne comptait ou ne compte guère, d´autres fils dignes et immaculés à conseiller tels: l´ex-président ghanéen John Kouffor, dont l´action et les efforts - pendant ses années de pouvoir - méritent d´être saluer. Lesquels ont permis, soulignons-le, au Ghana de bien amorcer le virage pour son développement économique, et de poser de vraies bases pour l´instauration d´une démocratie participative à l´africaine et d´un État de droit.
De toute évidence, dans le cadre de ce cauchemar infligé au Congo pour le contrôle de ses diverses richesses minières, les masques continuent décidément de tomber. Car l´on voit plus clairement, au-delà de ces minables dirigeants tutsis rwandais et ougandais sans foi ni loi, que l´on manipule comme des vulgaires marionnettes pour semer mort et désolation chez leurs voisins congolais, qui en sont les vrais commanditaires, et à qui profitent réellement tous ces crimes. Justice divine étant, soyez-en sûrs, vous serez tôt ou tard rattrapés par vos crimes, et l´Histoire vous jugera tous le moment venu.
Que Dieu bénisse le Congo et garde son peuple!
Pépin Lulendo
Le 02 novembre 2009
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Ba ndeko bokoki kotika ya bino makanisi awa