jeudi 19 décembre 2013

LE VIRUS DU SIDA UNE ARME BACTERIOLOIQUE

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La vérité n'est pas toujours agréable, mais dans chaque cas elle nous rend libres.
Dans le cas, présent, la vérité nous libère de la peur.

La fausse épidémie de sida dans les années 80 a déclenché une peur mondiale, la peur d'avoir tout contact physique avec des personnes inconnues, mais aussi avec les plus proches. 
Souvenez-vous de ce qu'on nous disait? Quand tu fais l'amour, tu ne le fais pas seulement avec cette personne, mais avec toutes celles avec qui cette personne a eu des rapports physiques.

C'était le vrai but de cette "épidémie".
Le but était de nous faire vivre dans la peur. (En dehors de gagner de l'argent, conséquence secondaire de la peur).


Document officiel des archives de la Librairie du Sénat des États-Unis.
Le document atteste que le virus du sida a été artificiellement créé par le Département de la Défense des États-Unis d'Amérique

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Traduction:
Le programme Feasibility a été complété en 1974-1975 et le virus entre 1974 et 1979. L'AIDS-laced amallpox vaccine a été commencée à être injecté chez plus de 100 millions d'africains en 1977. A plus de 2.000 homosexuels de race blanche (Operation Trojan Horse) il a été injecté avec le vaccin contre l'hépatite A "modifié" en 1978 au Centre de contrôle des maladies infectieuses et au centre de collecte de sang à New York.

Le développement du virus avait apparemment deux objectifs: (1) Arme politique / ethnique à utiliser contre les gens de couleur et (2) la réduction programmatique de la population.

Le 29 juillet 1969, quelques jours après que le Département de la Défense ait demandé au Congrès 10 millions de dollars de financement pour la recherche "d'un agent pathogène biologique synthétique, une substance qui n'existe pas dans la nature et contre laquelle il n'est pas possible de développer une immunité naturelle", le Président de la Task Force républicaine sur Earth Resources and Population (Population et ressources terrestres), l'honorable George H.W. Bush a souligné le besoin urgent d'actions destinées au contrôle de la population pour faire face à la "crise croissante dans le Tiers Monde".

La programmation de l'épidémie de sida.
En 1972, sous les auspices de l'Organisation Mondiale de la Santé, un programme de vaccination de masse des populations africaines contre la variole fût porté en avant. Ce vaccin infecté avec le virus du sida a été administré à des millions de Noirs africains indigents et dont le nombre croissait rapidement, problème qui préoccupait GHW Bush, parmi les autres membres de l'élite, les Rockefeller, le Club de Rome et les membres du Bilderberg depuis 1969.

Le virus du sida a été intentionnellement ajouté au vaccin contre l'hépatite-B.
Les études sur le vaccin contre l'hépatite B sont désormais sous clé et sous la garde du Département de la Justice à Washington et personne ne peut y accéder.

Le vih a été créé en laboratoire.
Avec une certitude bien-fondée, il y a quelques années, on risquait sa vie en racontant certains passages de la vérité ... maintenant il se dit que cela peut se faire, et que c'est même nécessaire. Cela fait peut-être un peu mal, mais on pense que cela peut servir à concilier une prise de conscience plus douce. Tellement de choses se sont passées que maintenant cela ne ferait pas de mal d'être un peu humain ....

A lire aussi:

Les 10 actions bénéfiques de l'amour sur votre santé  Les 22 maladies que vous pouvez guérir en faisant l'amour

mardi 17 décembre 2013

LA REINE NZINGA

Ngola Mbandi Nzinga Bandi Kia Ngola, reine d'Angola (1587-1663)
Elle est demeurée invaincue militairement par les Portugais durant tout son règne. Jusqu'à un âge avancé, elle allait sur les champs de batailles pour défendre l'intégrité de son royaume au côté de ses deux sœurs Kifunji et Mukumbu, officiers supérieures dans l'armée nationale


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Nzinga Mbandi
 Ngola, Reine d'Angola (1587-1663)

Débarquant des Caravelles de l'Amiral Diego Cao, dans cette partie de l'Afrique en 1484, les portugais furent surpris d'y découvrir un véritable eldorado de huit provinces insolemment fertiles arrosées de nombreux cours d'eau et d'un agriculture vivrière auto-suffisant et d'élevages de bovins. Les bourgs, parcourus d'orangers, de grenadiers et de citronniers étaient reliés par des pistes bien entretenues. Au XVIe siècle, un visiteur européen écrivait que l'endroit "offrait au voyageur le spectacle le plus brillant et le plus enchanteur. Des vignobles immenses,des champs qui tous les ans se couvrent d'une double moisson, de riches pâturages.  La nature semble prendre plaisir à rassembler ici tous les avantages que les mains bienfaisantes n'accordent que séparément dans les autres contrées et ,quoique noirs, les habitant s du Royaume d'Angola sont en général fort adroits et très ingénieux".
Les portugais y trouvèrent en effet une population industrieuse
 
occupée à des activités aussi variées que l'artisanat, -tissage du velours de Raphia, travail de l'ivoire, tannage de peaux, fabrication d'ustensiles en cuivre,- l'extraction minière et le commerce frontalier. Mais ce qui attira surtout leur attention, ce fut les diamants charriés par le fleuve Cuanza. Sans attendre, ils décidèrent de prendre officiellement possession de ce lieu béni au nom de Sa Très Chrétienne Majesté le roi du Portugal afin d'en faire une escale d'approvisionnement en esclave pour la mise en valeur de leur territoire du Brésil. Ainsi en déportant massivement les populations locales ils se rendraient plus facilement maîtres des richesses du pays.

Toutefois, même si les visiteurs européens se croyaient autorisés à s'approprier tout ce qui s'offrait à leurs yeux, cette contrée faisait partie intégrante du Royaume Matamba-Ngongo. Se rendant compte de leurs intentions, en 1575, le souverain de l'époque lança ses soldats contre une colonne d'exploitation, attirant sur son pays les foudres des conquistadores. Ces derniers s'élanceront à la conquête du Royaume récalcitrant et pendant près d'un siècle, les mousquets cracheront leurs feux contre des guerriers armés de lances et de leurs seul courage. Les provinces côtières tomberont les premières. L'annexion du Ngongo amputera le Matamba de sa façade maritime et permettra aux portugais d'établir la prospérité de la ville de Luanda sur l'exportation de l'or, du diamant et d'esclaves à destination des plantations américaines. Bien que sa superficie ne cessât de se réduire le Matamba se voulait être un symbole de résistance.
Sur cette terre régnait depuis plusieurs générations la famille de la Reine Nzinga. En 1617, à la mort du père qui fut le huitième Roi du Matamba-Ngongo, le fils aîné s'empara du pouvoir après avoir fait assassiner le successeur désigné par le défunt.
Pressé de vouloir repousser l'avancée portugaise postée à une cinquantaine de kilomètres de Cabasso, sa Capitale, Mani Ngola leva trente mille guerriers prêts à mourir en braves. Mais après plus d'un mois d'un campagne meurtrière où plus de la moitié de son armée fut décimée, la Roi dut accepter de rediscuter d'un nouveau tracé des frontières.

C'est sa soeur la Princesse Nzinga, qu'il détestait pourtant, qui fur chargée d'aller négocier le traité à Luanda. De son vrai nom Ngola Mbandi Nzinga Bandi Kia Ngola, "La Reine Dont la Flèche Trouve toujours Son But", c'était un habile tacticienne au tempérament de fer et au charisme incontesté. Initiée dès son plus jeune âge par son père qu'elle suivait comme une ombre, elle avait appris à réagir en "Homme d'Etat".
Portée en litière par une brigade de serviteurs véloces, Nzinga accompagnée d'une escorte de courtisans et d'un détachement armé, fit le voyage en quelques jours. Luanda! Que de transformations sur ce territoire arraché au Royaume de ses Pères! avec ses allures de ville Européenne et ses églises, dont la première fut construite en 1505, elle était parsemée d'importantes demeures en bois abritant les nouvelles élites coloniales, et de hangars à esclaves tournés vers l'Atlantique.

L'annonce de l'armée de l'Ambassade Angolaise avait attiré une foule de curieux plein d'excitation au débouché de la piste conduisant au Matamba. Une salve de vingt et un coups de canon résonna enfin, saluant l'arrivée e la délégation aux portes de la capitale. Le cortège apparut, déclenchant des exclamations d'enthousiasme dans la foule Africaine contenue pas deux colonnes de miliciens portugais.
Nzinga était vêtue un pagne de fin velours en raphia. Une étole de couleur vive posée en écharpe sur ses épaules lui couvrait à peine la poitrine. Sa couronne d'or massif sertie de pierres précieuses et surmontée d'une touffe de plumes multicolores formait un petit casque sur sa tête. Tout en elle traduisait la fierté des femmes de haute lignée.

Comme indifférente à la curiosité manifestée sur son passage, la Princesse observait, de sa litière, l'étrange univers qui se présentait à elle. Les cases rondes de jadis avaient fait place à des habitations colorées, entourées de larges balcons et percées de volets en bois. Des ruelles avaient été tracées, où déambulaient de nouveaux types de population plus métissée. Elle remarqua les nombreuses boutiques des commerçants portugais et l'ostentation de ces quelques noirs aisés qui avaient troqué leur tenues traditionnelles contre des tenues occidentales.

Elle sentit aussi la résignation du petit peuple, arrachés à leur plantations de vivriers et privés des métiers dont ils tiraient jadis leur subsistance. L'administration à laquelle ils étaient désormais assujettis ne leur reconnaissait qu'un seul atout, celui d'esclave ou de serviteur. D'ailleurs en longeant la rade, elle aperçut les marins portugais, espagnols italiens et hollandais, affairés à embarquer sans aucune ménagement des centaines d'esclaves alignés. En faction sur le quai, des négriers blancs contrôlaient le déroulement des opérations aidés d'intermédiaires Afro-Brésiliens, venus pour la plupart de l'île de Sao Tomé. Luanda avait pour réputation d'être un port de traite féroce. Les esclaves y étaient parqués comme des bêtes et près de la moitié d'entre eux mouraient de malnutrition et de mauvais traitement avant même leur transfert sur les bateaux.

Accueillie au palais du gouverneur par le Vice-Roi du Portugal en personne, Don Joao Correira Da Souza, Nzinga fut dirigée vers le salon où devaient avoir lieu les pourparlers. Mais en entrant dans ma pièce elle eut un imperceptible mouvement de raideur; elle venait d'apercevoir, posés par terre sur un tapis, face à l'unique fauteuil de velours rouge visiblement destiné au Vice-Roi, deux coussins de brocard frangés de fils d'or; elle comprit d'emblée que ces coussins étaient destinés à son assise. Cette différence de traitement suggérant un état d'inféodation lui déplut souverainement. D'un geste sec elle ordonna à une de ses suivante d'approcher.

La servante n'eut point besoin d'explication pour comprendre le courroux de sa maîtresse. Elle se mit précipitamment à genoux sur le tapis et, prenant appuis sur ses coudes, pencha le buste en avant et lui présenta son dos. Un bourdonnement d'effarement saisit l'assemblée des officiers portugais. Nzinga se posa sur ce fauteuil improvisé et y demeura pendant toute la durée de l'entretient.
Son sens de la répartie et son habileté politique dominèrent entièrement la rencontre, disent les chroniques portugaises de l'époque. Elle ne céda en rien sur ce qui semblait relever de la dignité de son peuple et parvint à obtenir le recul des troupes étrangères hors des frontières antérieurement reconnues et le respect de la souveraineté du Matamba.
Au moment de clore la négociation, le vice-Roi suggéra que le Matamba se mette sous la protection du roi du Portugal. Ce qui supposait en réalité le paiement d'un impôt de vassalité consistant à la livraison de douze à treize mille esclaves par an à l'administration coloniale! Mais c'était mal connaître son interlocutrice. "Sachez, Monsieur, objecta-t-elle, que si les portugais ont l'avantage de posséder une civilisation et des savoirs inconnus des Africains, les hommes du Matamba, eux, ont le privilège d'être dans leur patrie, au milieu des richesses, que malgré tout son pouvoir le roi du Portugal ne pourra jamais donner à ses sujets. Vous exigez tribut d'un peuple que vous avez poussé à la dernière extrémité. Or, vous le savez bien, nous paierons ce tribut la première année et l'année suivante nous vous ferons la guerre pour nous en affranchir. Contentez-vous de demander maintenant, et une fois pour toutes, ce que nous pouvons vous accorder"; Le débat était clos. Alors qu'elle prenait congé, Da Souza fit remarquer, non sans une certaine gêne, que la jeune servante utilisée comme tabouret n'avait toujours pas quitté sa pose. "L'ambassadrice d'un Grand Roi, répondit Nzinga avec hauteur, n'utilise jamais deux fois la même chose. Cette fille m'a servi de siège, elle n'est plus à moi!".
Et c'est ainsi qu'en cette année 1622, Nzinga fit une entrée remarquée dans l'histoire tourmentée des relations entre le Portugal et l'Angola. Car la paix ne dura pas. Succédant à son frère en 1624, cette femme d'exception résista aux armées occidentales pendant trente ans de campagnes quasi ininterrompues sans jamais capituler!
Ralliant à sa cause plusieurs états voisins, elle prit le flambeau de la résistance, réorganisant son armée en carrés disciplinés; aguerrissant ses soldats par des exercices d'endurance comme elle l'avait vu faire chez les Européens, incitant les régiments Africains bien équipés enrôlés dans l'armée d'occupation à rejoindre les troupes en échange de terres et de fortes récompenses; lançant sa police secrète sur le port de Luanda pour espionner les débarquement de troupes fraîches en provenance de Lisbone ou du Brésil; utilisant la nature à son profit en choisissant les saisons porteuses de malaria pour harceler les forces adverses épuisées par des fièvres auxquelles elles n'étaient pas habituées.
Les Vice-Rois qui se succédaient n'en pouvaient plus d'essuyer des échecs face à ce roc indestructible. A 73 ans, Nzinga continuait de conduire ses troupes entre montagne, forêt et savane afin que pas une once de son Royaume ne s'émiette. Puis vient le temps de l'apaisement. Sans doute plus clairvoyant que ces prédecesseurs, le nouveau gouverneur Salvador Correia, avait compris qu'une guerre interminable ne serait profitable à aucune des deux parties. Les portugaus renoncèrent finalement à leurs prétentions sur le Matamba et un dernier traité fut ratifié le 24 Novembre 1657 par Lisbone.

La paix revenue, Nzinga se remit aux occupations quotidiennes de sa charge, releva l'agriculture et réorganisa la société en confiant de nouvelles responsabilités aux femmes du Royaume. Elle mourra le 17 Décembre 1664, à l'âge de quatre-vingt-deux ans en murmurant: "Mon seul regret est de ne pas laisser un fils qui puise me succéder sur le trône du Matamba". Etait-elle en train de revivre, alors que la mort venait à sa rencontre, ce jour maudit où son fils unique, un bébé de quelques mois qui tétait encore le sein, fut assassiné par les sbires de son frère tant haï, ce tyran qui lui vouait une jalousie féroce?



Source: http://www.blogzone.fr/gestion/in.php?url_id=5967

vendredi 6 septembre 2013

LA GLANDE PINEALE


LA GLANDE PINEALE




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La glande pinéale pourrait être la partie la plus importante de votre système nerveux tout entier. Il s’agit essentiellement d’une antenne spirituelle, votre équivalent physique d’un troisième œil.

Il est essentiel pour atteindre des niveaux plus élevés de conscience tout en restant dans un corps physique.

La glande pinéale se trouve au centre géométrique du cerveau. Elle est creuse et rempli d’un fluide contenant des cristaux.
La calcification fait en sorte que les cristaux dans la glande s’attachent aux dépôts de minéraux. Ainsi, les cristaux ne peuvent plus exercer leur propriété de piézoluminescence.
Les effets de la calcification sont la dépression, l’anxiété, la boulimie/anorexie, la schizophrénie et d’autres formes de maladies mentales. La calcification vient aussi perturber la sécrétion de la mélatonine.
La mélatonine, souvent dénommée hormone du sommeil, est surtout connue comme étant l’hormone centrale de régulation des rythmes chronobiologiques, et d’un certain point de vue, de pratiquement l’ensemble des sécrétions hormonales.(…) Elle est sécrétée par la glande pinéale en réponse à l’absence de lumière. La mélatonine semble avoir de multiples fonctions, autres qu’hormonales, en particulier comme antioxydant (anti-cancer). Elle semble aussi jouer un rôle dans le système immunitaire.
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L’image nous montre le dieu ailé sumérien Enki avec un cône de pin dans la main. On retrouve dans beaucoup de cultures la symbolique du cône de pin représentant la glande pinéale (siège de l’âme).
La calcification de la glande pinéale est causée principalement par le fluorure qui circule dans notre sang.
Le fluorure vient des pâtes à dents, de l’eau du robinet et de l’eau en bouteille, dans certains aliments, des médicaments psychotropes comme le prozac qui est aussi appelé fluoxétine et qui contient 30% de fluorure. La glande pinéale contient la plus grande concentration de fluorure dans le corps.


Calcification …?

Malheureusement, pour la plupart des gens, la glande pinéale est fortement entartrée. Tant et si bien qu’elle apparait comme un morceau de calcium lors d’une IRM. Alors, quelle est la calcification, et quelles en sont les causes?
La calcification est l’accumulation de cristaux de phosphate de calcium dans diverses parties du corps. C’est un processus naturel causé par les nanobactéries primaily. les Nanobactéries sont des microorganismes qui forment de minuscules coquilles de phosphate de calcium autour d’eux, essentiellement pour se protéger de votre système immunitaire. Il ressort de la dernière recherche que cela peut être la cause de la plupart des maladies.
De l’arthrite, aux accidents vasculaires cérébraux, du cancer aux maux de dos. Grâce au système alimentaire SAD (standard régime américain) horribles, la plupart des gens sont exposés à beaucoup plus de ces organismes que jamais, et que non seulement, sont calcifiées par d’autres moyens aussi.

Eau, alimentation et mode de vie

Les principales causes de calcification comprennent:
  • - Fluorure (magnétiquement attiré par la glande pinéale où il forme des cristaux de phosphate de calcium plus que partout ailleurs dans le corps).
  • -Suppléments de calcium (de loin la principale cause de la calcification. Si votre médecin vous recommande de les prendre, je vous recommande d’arrêter immédiatement)
  • - D’autres halogénures comme le chlore et le bromure.
  • - Le calcium dans l’alimentation (presque tous les aliments transformés contiennent une certaine forme de calcium0.
  • -  Eau du robinet (l’eau du robinet est rempli avec de substances calcifiantes).
  • - Eau de source (distillée elle peut être nocive à long terme (même si c’est beaucoup mieux que l’eau du robinet).

La détox de la glande pinéale

Options de détoxication naturelles pour du fluorure de sodium et les métaux lourds
Zéolite
Les zéolithes sont des minéraux présents dans les fonds marins anciens et de roches volcaniques. Les molécules en forme de nid d’abeilles de zéolite ont la capacité de capturer les toxines métalliques de tous types et en toute sécurité les transporter hors du corps. (Pas tous les produits de zéolite sont égaux, alors assurez-vous d’obtenir une grande qualité.)
Argile de bentonite
Comme zéolite, de l’argile bentonite contient des ions négatifs qui attirent les ions positifs de toxines et pathogens. Vous pouvez faire tremper dans un bain d’argile ou de prendre l’argile bentonite de qualité alimentaire à l’intérieur. (Notez que les bains d’argile ne sont peut être pas la meilleure option si vous avez une maladie cardiaque.)
Chlorella
Une série d’études cliniques montrent que la qualité fibreuse de la chlorelle se lient aux métaux toxiques et les débusque. Vous pouvez prendre des capsules ou faire des smoothies avec de la poudre de chlorella. Le goût est assez agréable.
Coriandre
Cette plante polyvalente culinaire, utilisé couramment dans la cuisine mexicaine contribue également à l’élimination des métaux lourds. Pesto à la coriandre a été utilisé efficacement pour la thérapie de chélation par beaucoup.
Magnésium
Le magnésium possède la capacité d’inhiber l’absorption de fluorure dans nos cellules, donc lors de l’embarquement sur un detox de métal et de fluorure, assurez-vous que vous avez trouvé une bonne dose quotidienne de magnésium à partir d’une source de grande qualité, comme cela facilitera grandement vos efforts désintoxication.
Homéopathie
En prenant également homéopathique Boiron Borax 30, à granules, 80 ct -. 5 pilules http://amzn.to/x5mqpp jour 3x désintoxication de la glande pinéale.
En conséquence, le nettoyage de votre corps de la pollution par les métaux lourds et le fluorure de sodium ne sera pas seulement capable d’aider à normaliser votre production de mélatonine, mais permettra également d’améliorer votre fonction cognitive et augmenter vos niveaux de vitalité.

Platon, Descartes, Pythagore et bien d’autres pensaient que la glande pinéale était le siège de l’âme.

La glande pinéale a la forme d’un cône de pin, d’où son nom qui vient du latin « pinea » qui veut dire « pin ».
Techniquement, la glande pinéale ne fait pas partie du cerveau. Elle n’est pas protégée par la barrière hémato-encéphalique, en fait, elle reçoit plus de sang que tous les autres organes à l’exception des reins. Comme elle n’est pas protégée du flux sanguin, elle accumule des dépôts minéraux, aussi appelé « sable cérébral ». Avec le temps, ce sable s’accumulation et produit la calcification de la glande, rendant opaque et visqueux le fluide à l’intérieur de la glande.
Il est aussi connu que l’intérieur de la glande pinéale contient des cellules photosensibles (qui perçoivent la lumière). On sait aussi que les mini cristaux à l’intérieur de la glande ont une propriété de piézoluminescence. Ceci signifie que lorsqu’on applique une pression sur les cristaux, ils émettent de la lumière. On ne sera pas surpris d’apprendre que, dans la mythologie védique, on associe cette glande au troisième oeil. Notez que la glande pinéale gère les cycles d’éveil et de sommeil.
On a découvert récemment qu’en fait la glande pinéale est un puissant récepteur, mais que ce sont d’autres zones du cerveau qui décodent les informations reçues, telles que le cortex frontal cérébral. Sans cette interaction, les informations reçues ne pourraient pas être comprises. Elle joue un rôle vital au niveau du sommeil et de la sexualité et donc de la reproduction.
La glande pinéale capte ainsi des vibrations du spectre électromagnétique traduisant nos émotions, nos pensées ou celles des esprits, voire celles d’autres personnes au moyen de la télépathie. Ce qui a éveillé l’intérêt des scientifiques qui ont mis en lumière des fonctions en relation avec la physique et les phénomènes paranormaux… tels que les transes médiumniques .
Les médiums captent un grand nombre d’informations. Ces informations sont enregistrés par le thalamus (zone du cerveau qui enregistre les activités sensorielles). La personne ne comprend pas beaucoup les choses qu’elle capte mais, son corps y réagit. (La liste des réactions peut être vaste, par exemple : en présence d’une âme errante, avoir une sensation dans la nuque, maux de ventre, emballement du coeur, fatigue soudaine, sensation de vertige ..)
Lors des états de dédoublement que vit le médium, celui ci développe une plus grande activité : il capte les sensations d’autrui. Il est parfois difficile pour le médium, de distinguer son sentiment individuel de celui qu’il a pu capter. Des personnes peuvent alors être confuses quant à leur propre identité, surtout si elles ignorent être médium. Ce sont généralement des personnalités critiques, autocritiques, anxieuses voire dépressives.

Nazis, fluor et contrôle des cerveaux

Et vous pensiez que tout ce que le gouvernement fait, il le fait pour vous ? Vous devriez changer d’idée.…..La première fois que de l’eau potable a été fluorée, c’était dans les camps de concentration de l’Allemagne nazie. La Gestapo ne pensait pas aux présumés bienfaits du fluor sur les dents des enfants. Du fluorure de sodium était ajouté à l’eau afin de rendre les humains stériles et forcer les prisonniers des camps de concentration à demeurer dociles. (Source : The Crime and Punishment of I.G. Farben – Le crime et la sentence de I.G. Farben de Joseph Borkin).
L’ingestion régulière de quantités infinitésimales de fluor réduit la capacité d’une personne à résister à la domination en empoisonnant et en intoxiquant lentement une certaine partie du cerveau. Cette personne devient donc soumise à la volonté de ceux qui désirent la gouverner.  » (Une lobotomie légère et pratique).
L’eau n’est pas fluorée pour améliorer la santé dentaire des enfants. Si c’était la raison véritable, cela pourrait se faire beaucoup plus facilement à des coûts moindres et de façon plus efficace. La fluoration de l’eau a comme but véritable de contrôler et dominer la population plus facilement et de lui faire accepter la perte des libertés individuelles.
Quand les Nazis d’Hitler ont envahi la Pologne, les États-majors allemand et russe ont discuté de science et de guerre et ils ont échangé des idées, des plans et du personnel. Le projet de contrôler la masse par la contamination de l’eau a particulièrement intéressé les communistes russes qui y voyaient une façon idéale d’imposer le communisme au monde entier.
Selon les chimistes, les mélanges d’eau et de fluorure de sodium sont les plus efficaces et les moins coûteux pour tuer les rats : sans couleur, sans odeur, sans goût ; pas d’antidote, pas de remède, pas d’espoir : une extermination complète et instantanée des rats.
« La fluoration de l’eau peut être un suicide national lent ou une liquidation nationale rapide. C’est de la folie criminelle. Une trahison ! » E.H. BRONNER, Ingénieur chimiste, Los Angeles.

Alimentation et glande pinéale

Notre glande pinéale autrement connue comme notre glande maîtresse, régit notre troisième œil et est le centre de la conscience psychique dans l’esprit humain. Elle est de la taille d’un pois et se situe dans une grotte située derrière la glande pituitaire. Elle produit naturellement une hormone mélatonine qui régule appelé les rythmes du corps quotidien qui traitent directement avec le jour et les cycles de la nuit.
Développer et élargir la fonction et l’énergie de votre glande pinéale est extrêmement important car elle affecte tous les systèmes de votre corps physique et a le potentiel de déterminer l’expansion ou la contraction de votre conscience psychique.
La lumière du soleil est extrêmement importante pour la glande pinéale. Le soleil est une forme de nourriture. La lumière du soleil peut être prise et digérée par les yeux, peau, cheveux, poils de nez et les oreilles et doit être consommé pendant au moins 30 minutes par jour.
Les légumes, ainsi que les algues séchés au soleil contiennent des quantités élevées de vitamine D etde nombreuses vitamines du groupe B et de l’iode. Les légumes à feuilles vert foncé sont extrêmement nourrissants pour la glande pinéale. Cette glande absorbe les propriétés de la couleur verte des légumes et les distribue à des systèmes appropriés de l’organisme afin que le corps soit bien nourri.
Les bons aliments peuvent influer positivement sur votre glande pinéale, mais vous pouvez également activer votre glande pinéale en mangeant plus d’aliments crus, ou en achetant une machine à ozone pour votre maison qui aidera à la purification de l’air ambiant.
La sérotonine
Autant que la glande pinéale besoin de lumière, elle doit également produire de la sérotonine suffisante pour être activée afin qu’elle puisse augmenter sa conscience psychique. Or, la sérotonine est produite lorsque le cerveau est endormi. Il est donc conseillé de dormir dans une chambre très sombre, car c’est extrêmement nourrissant pour la pinéale…
Un déséquilibre de sérotonine peut provoquer un état anxieux, et un goût excessif pour le sucré.
Pour synthétiser de la sérotonine, nous avons besoin d’un acide aminé de l’alimentation, le tryptophane. Nos cellules nerveuses le transforment en sérotonine. Plus il y en a, plus les neurones produisent de sérotonine. Mais pour des raisons d’ordre génétique, ou parce que l’alimentation n’apporte pas toujours suffisamment de tryptophane, la synthèse de sérotonine peut être insuffisante, entraînant une dépendance vis-à-vis du sucré, qui toucherait une personne sur trois. Ceci se traduit par de l’irritabilité voire de l’agressivité, des états de déprime, des difficultés à trouver le sommeil, et une attirance excessive pour le sucré qui toucherait une personne sur trois.

Les aliments riches en tryptophane sont souvent associés à des graisses, les femmes ont tendance à les écarter spontanément de leur régime. Elles ont aussi tendance à diminuer les calories qu’elles ingèrent. Cela n’est pas une solution.
Les aliments qui produisent naturellement la sérotonine sont:
Les amandes, les bananes, les piments, le riz, les pommes de terre, les aubergines, les avocats, les haricots, les lentilles, et certains fruits comme les tomates, les dattes, les noix et les prunes mais aussi les acides gras de la famille Oméga 3 qui facilitent l’action de la sérotonine au niveau cellulaire. On les trouve dans les huiles de colza, de lin, de canola, de noix,dans les graines de lin et de chanvre et aussi les poissons gras (maquereau, sardine, saumon).
Ce qu’il faut éviter: Les boissons gazeuses en général.
Consommer des produits animaux, les viandes surtout et le poisson, possèdent souvent des quantités élevées de mercure…

En conclusion

Pour finir brièvement sur la glande pinéale, celle-ci semble être notre lien avec l’univers, la « matrice », le « champs » comme le nommait Einstein, ce champs qui fait de nous ce que nous sommes : UN.
C’est d’ailleurs à travers cette glande pinéale que nous allons chercher nos souvenirs. Nous découvrons ainsi que notre mémoire n’est pas située dans notre cerveau ! Mais que celui-ci n’est qu’un récepteur telle une antenne radio très perfectionnée qui va chercher (entre autres) nos souvenirs, dans le « champs ». Ce champs, cette map universelle qui nous lie tous les uns les autres…Le WEB morphogénétique ….
L’homme est donc capable d’intéragir avec ce champs à de nombreuses occasions : télépathie, télékynésie…
La théorie de Gregg Braden veut que nous ne sommes pas (comme il était considéré jusqu’à présent) juste des observateurs des évènements qui surgissent dans nos vies, comme si le destin l’avait décidé pour nous, mais que la perception que nous avons, avec notre vue, notre toucher, notre goût, notre odorat ou notre ouïe n’est que la perception du monde que nous avons décider d’ériger devant nous. Nous devenons donc des « participateurs ».

Le système de contrôle du mental humain

Certains diront que cela a un rapport avec les lois de l’attraction. En fait, oui…. et non. Car la loi d’attraction est avant tout une façon de nous amener à construire notre monde physique grâce à notre comportement et nos pensées. Mais, d’un point de vue social, la loi d’attraction est, en effet, redoutable. Car, si le principe qui implique le champs morphogénétique va jusqu’à la matérialisation de notre environnement par notre seule volonté, il oublie que nous sommes en fait tous téléguidés sous l’effet de lignes de forces ou lignes de prédation qui nous relient certains à d’autres, en fonction des résonances de leurs mémoires cellulaires cristallisées…
« Ces champs de force de l’enfermement sont entretenus, comme vous le savez, hélas, par la pensée humaine, par les croyances, par tout ce que vous créez, par l’animosité, par le manque d’humilité, par le manque de simplicité, par la peur, par le besoin de contrôler les autres ou l’autre dans sa famille, son mari, sa femme, ses enfant« . ( O.M. AÏVANHOV, canalisé par Jean Luc Ayoun le 4 septembre 2012)
Le système de contrôle du mental humain est entretenu par l’ensemble des croyances, par le karma, par l’ADN, mais aussi par notre comportement. Et sommes-nous toujours complètement conscient de ce comportement ?Nos pensées ne sont pas les nôtres … !
Le détartrage de la glande pinéale semble être la solution la plus simple pour sortir du « Pilotage Automatique » auquel nous sommes soumis par nos choix d’incarnation. Et « ils » le savent, sinon on aurait pas de fluor dans l’eau du robinet …. !
« En septembre 2005, le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec demandait à toutes les villes de la province de fluorer l’eau potable, soi-disant « pour prévenir la carie dentaire chez les enfants défavorisés ».http://www.qve.qc.ca/afq/FAQ.htm
Et la France n’est pas en reste, bien au contraire ! le fluor dans l’eau

Modes d’élimination du fluorure de l’eau selon:

Le Petit Monde de Cozillon

  • Inverser la filtration par osmose
    Il est utilisé pour purifier plusieurs types d’eau embouteillée (pas tous), de sorte que certaines eaux en bouteille sont non fluorées. Systèmes à osmose inverse sont généralement inabordables pour un usage personnel.
  • Défluoruration alumine activée filtre
    Ces filtres sont utilisés dans des endroits où la fluorose est répandue. Ils sont relativement coûteux (prix le plus bas que j’ai vu était 30/filter $) et nécessitent un remplacement fréquent, mais qui offrent une option pour la filtration de l’eau à domicile.
  • Distillation de filtration
    Il existe dans le commerce des filtres disponibles de distillation qui peuvent être achetés pour enlever le fluor de l’eau. Sur le même sujet: Quand on regarde l’eau en bouteille, garder à l’esprit que «l’eau distillée» ne signifie pas qu’un produit est adapté à l’eau potable et d’autres impuretés indésirables peuvent être présents.
Ce qui n’enlèvent pas le fluor
  • Brita, Pur, et la plupart des autres filtres.
    J’ai vérifié la description des produits sur les sites Web des entreprises pour confirmer que le fluorure est laissé dans l’eau.
  • D’ébullition de l’eau
    Il portera le fluorure plutôt que de le réduire.
  • La congélation de l’eau
    l’eau de congélation n’affecte pas la concentration de fluorure.
Mesures pour réduire l’exposition au fluorure
  • Ne prenez pas de suppléments de fluor.
  • Lisez les étiquettes sur les boissons en bouteille.
  • Utiliser un dentifrice non fluorées.
  • Évitez de boire du thé rouge ou noir.
    Il ya de nombreux bienfaits associés à des composés chimiques présents dans le thé, mais cela peut être une boisson à éviter si vous avez besoin pour réduire votre consommation de fluor. Noir et thé rouge proviennent de deux types différents de plantes, mais les deux feuilles contiennent naturellement des quantités élevées de fluor.
  • Méfiez-vous des conserves de poisson et des produits alimentaires en conserve.
    Le fluorure peut être utilisé comme conservateur.
  • Éviter les articles contenant de sel gemme rouge ou noir.
  • Éviter l’utilisation à long terme du médicament qui contient du fluor.

La glande pinéale est la clé vers l’illumination

Le chercheur en psychédélique Dr Rick Strassman a expliqué comment la glande pinéale « est plutôt active pour synthétiser des composés relatifs à la sérotonine, un important neurotransmetteur dans le cerveau. Les neurotransmetteurs sont les messagers chimiques permettant la communication entre les cellules nerveuses individuelles.
La plupart des drogues psychédéliques typiques, tels que le LSD, la mescaline, la psilocybine et le DMT sont actifs dans les régions du cerveau également affectées par la sérotonine. De plus, la plupart de ces drogues sont similaires dans leur structure chimique à la sérotonine.
Et si on parlait du cannabis ?
Une nouvelle étude des textes bibliques révèle que le « Kanehbosem », ou Cannabis, était utilisé dans les huiles d’onction et l’encens que Jésus utilisait au cours des cérémonies et rituels de guérison.
Au sujet de l’utilisation du cannabis dans l’Ancien Testament Carl P. Ruck explique :« Il y a peu de doute au sujet du rôle du cannabis dans la religion judaïque… il n’y a pas de plus importante plante comme source de fibres pour les textiles et les huiles nutritives et aucune aussi facile à faire pousser… » Ruck parle ensuite de la continuation de cette pratique dans la période primitive chrétienne « de manière évidente, la profusion du cannabis et une longue tradition établie au sein du judaïsme ne peuvent que conduire à ce qu’elle soit incorporée dans les préparations des premiers chrétiens.
Bien que la plupart des individus de notre époque choisissent de fumer ou d’ingérer le cannabis, les ingrédients actifs de cette plante peuvent être transférés dans une huile, et peut être absorbée au travers de la peau, qui est, en fin de compte, un grand organe. Dans le Nouveau Testament, Jésus ne baptisait aucun de ses disciples comme cela est pratiqué aujourd’hui par l’Eglise Catholique, mais plutôt il les consacrait avec une huile enthéogène puissante, envoyant les douze apôtres faire de même… « Et ils rejetèrent de nombreux démons, et ils oignirent d’huile ceux qui étaient malade, et ils les soignaient » (Marc 6 :13).
Le cannabis thérapeutique :
* Marinol (dronabitol) : prescrit pour les traitements des nausées et des vomissements liés à la chimiothérapie, ainsi que pour stimuler l’appétit chez les malades du sida ;
* Cesamet (Nabilone) : prescrit pour les traitements des nausées et des vomissements liés à la chimiothérapie ;
* Sativex : prescrit comme anti-douleur pour la sclérose en plaques.
Il peut aussi être prescrit à l’état naturel afin d’être consommé en tisane ou par inhalation de vapeur de THC sublimé, là encore sa prescription la plus courante reste relative aux malades en phase terminale.
De nombreuses études – plus ou moins significatives – existent ou sont en cours sur ses qualités thérapeutiques.
* Il est question de propriétés :
o analgésiques : malades en phase terminale et pour les douleurs chroniques résistantes aux traitements traditionnels ;
o relaxantes et somnifères : malades en phase terminale ;
o anti-spasmodiques : sclérose en plaque, épilepsie ;
o anti-vomitives : traitement des effets secondaires de la chimiothérapie ou d’autres traitements lourds ;
o stimulant l’appétit et redonnant du plaisir à manger : lutte contre cachexie (maigreur extrême) et favorise la prise de poids ;
o broncho-dilatatrices : asthme ;
o vaso-dilatatrices : glaucome.

* D’autres études suggèrent que le cannabis pourrait être :
o une alternative efficace pour le prurit cholostatique réfractaire ;
o un agent thérapeutique contre des maladies neuro-dégénératives et la dystonie (perturbation du tonus musculaire) tels que la maladie de Parkinson ou le syndrôme de Gilles de la Tourette ;
o un agent anti-prolifératif : rémission de tumeurs cancéreuses au cerveau (ainsi que ralentissement de la progression de certains cancers du poumon, sein et de la leucémie) ;
o un agent inhibant les sécrétion d’acide gastrique et avoir un rôle favorable sur les ulcères ;
o un agent améliorant les troubles comportementaux des patients atteint de la maladie d’Alzheimer. (Wikipedia)

Pour finir :

Pour détartrer votre pinéale, mangez sain et cru, plutôt végétarien, usez du coriandre dans toutes vos salades assaisonnées à l’huile de colza et buvez du thé vert au cannabis ….
Enjoy ….

dimanche 1 septembre 2013

CE QUE NOUS NE CONNAISSONS PAS SUR EKIPATA


Sous le plateau de Gizeh des vestiges gênant d’une science avancée…

 
 



 
 
 
De nombreux témoignages historiques ou contemporains permettent d’être convaincus de la présence, sous le plateau de Gizeh et l’ancienne cité du Caire, d’un savant enchevêtrement de passages, conduits, salles, cavernes naturelles, de lacs, et d’une grande cité, renfermant des artefacts sophistiqués révélant un très haut niveau de technicité.
L’information relayée par les médias jusqu’ en 1935 est depuis soustraite au public par les autorités archéologiques.
L’histoire oubliée des pyramides…




 
Pour bien saisir les connaissances secrètes de la Bible, il est important de prendre conscience de l’ampleur du système de galeries souterraines et celle des équipements des salles qui en dépendent, sous la surface du plateau des Pyramides. Car c’est là que se développèrent les éléments majeurs des enseignements de l’Ecole de Mystères.
Ce qui s’est déroulé sous les sables il y a des milliers d’années n’est pas repris par les manuels d’histoire actuels, même si les découvertes effectuées ces 80 dernières années le confirment.
Le district de l’Oasis Fayoum, situé à seulement quelques kilomètres au-delà des limites du Nome de Memphis, présente un site d’un intérêt exceptionnel. C’est dans cette riche vallée fertile que les Pharaons, se nommant eux-mêmes les “maîtres des chasses royales”, pêchaient et chassaient au boomerang.
Le Lac Moeris avoisinait autrefois l’Oasis Fayoum et sur ses rives se trouvait le célèbre Labyrinthe, décrit par Hérodote comme “une infinie merveille”. Celui-ci comprenait 1.500 pièces et autant de salles souterraines supplémentaires que l’historien grec ne fut pas autorisé à explorer.
Selon les prêtres du Labyrinthe, “les passages étaient déroutants et complexes”, destinés à sécuriser les nombreux manuscrits qu’ils affirmaient cachés dans les salles souterraines. Ce complexe massif impressionna particulièrement Hérodote qui le citait avec une crainte révérentielle :
Je vis douze palais régulièrement disposés, communiquant entre eux, émaillés de terrasses et répartis autour de douze grandes cours. Il est difficile de croire qu’ils étaient l’oeuvre d’hommes. Les murs étaient recouverts de portraits sculptés, et chaque cour, construite en marbre blanc de façon exquise, était entourée d’une colonnade.
Près de l’angle où se termine le labyrinthe, s’élevait à 80 mètres une pyramide ornée de grands portraits sculptés d’ animaux dont l’entrée s’effectuait par un souterrain. J’appris de source très sûre que les salles et les passages souterrains la reliaient aux pyramides de Memphis. Ces dernières étaient celles de Gizeh qui, en effet, s’appelait Memphis à l’origine  “Gizeh anciennement Memphis”, sur la carte de Nordan extraite de Voyages en Égypte et en Nubie, 1757, page 152.
Beaucoup d’auteurs antiques confirment la description par Hérodote des passages souterrains reliant les pyramides les plus importantes, et l’évidence de leur existence jette un doute sur la vraisemblance de l’histoire de l’Egypte présentée traditionnellement. Crantor (300 av. J.C.) déclarait que certains piliers souterrains en Egypte offraient un récit de la préhistoire gravé dans la pierre et relataient les voies reliant les pyramides.
Dans son étude célèbre, Des Mystères, en particulier ceux d’Egypte, de Chaldée et d’Assyrie, Jamblique, un Syrien du quatrième siècle très représentatif de l’Ecole d’Alexandrie dans les matières mystique et philosophique, rapporta cette observation au sujet de l’entrée de la Grande Pyramide par le corps du Sphinx :
Cette entrée, aujourd’hui obturée par le sable et les décombres, peut être retrouvée entre les pattes avant du colosse accroupi. Elle était autrefois fermée par une grille de bronze dont seuls les Mages pouvaient actionner le mécanisme caché. Elle était protégée par la vénération publique, et une sorte de terreur sacrée maintenait son inviolabilité mieux que ne l’aurait fait une protection armée.
Dans le ventre du Sphinx étaient creusées des galeries menant à la partie souterraine de la Grande Pyramide. Ces galeries s’entrecroisaient le long du parcours vers la Pyramide avec un tel art que, quiconque s’y engageant sans guide retournait inévitablement à son point de départ.
Les antiques cylindres scellés des Sumériens racontent que la demeure secrète des Anunnakis était “un lieu souterrain… où l’on pénètre par un tunnel dont l’entrée est cachée par le sable ainsi que par ce qu’ils nommaient Huwana… dont les dents sont semblables à celles d’un dragon, et la face, à celle d’un lion”.
Ce texte ancien remarquable, dont il ne reste malheureusement que des fragments, ajoutait que “Il (Huwana) ne peut ni avancer, ni reculer”, mais qu’en grimpant sur lui par l’arrière, le passage vers “la demeure secrète des Anunnakis” n’était plus bloqué. Les notes sumériennes fournissent une description probable du Sphinx de Gizeh, et si cette grande créature était construite pour garder ou obturer d’anciens escaliers et des passages inférieurs menant aux parties souterraines au-dessous et alentour, alors, ce symbolisme était parfaitement opportun.
La tradition locale arabe du 19ème siècle affirmait qu’il existait des salles souterraines sous le Sphinx, renfermant des trésors ou des objets magiques. Cette croyance fut étayée par les écrits de l’historien romain du premier siècle, Pline l’ancien, selon lesquels, profondément en-dessous du Sphinx, est dissimulée la “tombe d’un dirigeant appelé Harmakhis qui contient un grand trésor” et, de façon assez étrange, le Sphinx lui-même fut appelé autrefois “Le Grand Sphinx Harmakhis qui montait la garde depuis le temps des Descendants d’Horus”.
Ammianus Marcellinus, autre historien latin du quatrième siècle fit des découvertes supplémentaires au sujet de l’existence de caveaux souterrains qui semblaient mener à l’intérieur de la Grande Pyramide.
Des inscriptions, dont les Anciens soutenaient l’existence, étaient gravées sur les murs de certaines galeries souterraines et des passages furent construits dans l’obscure profondeur pour empêcher la sagesse ancienne d’être perdue dans les inondations.
Un manuscrit, rédigé par l’écrivain arabe du nom Altelemsani et conservé au British Museum, relate l’existence d’un long passage souterrain, de section carrée, entre la Grande Pyramide et le Nil et cite une “étrange chose” bloquant l’entrée, côté fleuve.
Il rapporte l’épisode suivant :
A l’époque d’Ahmed Ben Touloun, un groupe entra dans la Grande Pyramide par le tunnel et découvrit dans une salle latérale une coupe de couleur et de texture rares. En s’en allant, ils semèrent un membre du groupe et, comme ils retournaient le chercher, celui-ci vint à eux nu et disait en riant : “Ne me suivez pas et ne me cherchez pas”, avant de se précipiter à nouveau dans la Pyramide. Ses amis comprirent qu’il avait été ensorcelé.
Apprenant que d’étranges événements se déroulaient sous la Pyramide, Ahmed Ben Touloun exprima le désir de voir la coupe de verre. Pendant l’examen, elle fut remplie d’eau et pesée, puis vidée et pesée de nouveau. L’historien écrivit : “elle avait le même poids à vide ou remplie d’eau”. Si l’histoire est exacte, ce manque de poids supplémentaire prouve de manière indirecte l’existence à Gizeh d’une science extraordinaire.
Selon Massoudy, au 10ème siècle, des statues mécaniques, dotées de propriétés stupéfiantes, gardaient les souterrains situés sous la Grande Pyramide. Anciennes de mille ans, on peut comparer leur description à celle des robots informatiques que l’on voit de nos jours dans les films du genre “La Guerre des Etoiles”.
Massoudy raconte que les automates étaient programmés pour être sensibles à l’intolérance, parce qu’ils détruisaient tout “sauf ceux dont la conduite leur valaient d’être admis”. Massoudy prétendait que “les manuscrits des Sages et les acquis dans divers arts et sciences étaient profondément cachés, qu’ils pouvaient ainsi constituer une mémoire réservé aux intérêts futurs de ceux qui pourraient un jour les comprendre”.
C’est une information phénoménale, dans la mesure où il est possible que, depuis l’époque de Massoudy, des personnes “dignes” aient vu les mystérieuses salles souterraines. Massoudy avoua : “J’ai vu des choses impossibles à décrire de crainte que l’on ne se mette à douter de ma santé mentale… mais cependant je les ai vues”.
Autre auteur du même siècle, Mouterdy décrit un étrange incident qui survint dans un passage étroit sous la terre de Gizeh. Un groupe de personnes fut horrifié de voir un de ses membres mourir écrasé par une porte de pierre qui, d’elle-même, bascula soudain à l’entrée du passage et ferma le couloir devant eux.
Hérodote affirme que les prêtres égyptiens lui racontèrent leur antique tradition de “l’organisation de salles souterraines” par les créateurs originels de Memphis.
Les plus anciennes inscriptions suggèrent aussi qu’il existait une sorte de complexe de très grandes salles sous la surface des terrains entourant le Sphinx et les pyramides. Ces anciens récits furent confirmés par la découverte d’une large cavité lors d’une surveillance sismique sur le site en 1993.
La nouvelle fut annoncée publiquement dans un documentaire intitulé “Le Mystère du Sphinx”, vu par 30 millions de téléspectateurs sur NBC fin 2003. L’existence de salles en dessous du Sphinx est bien connue. Les autorités égyptiennes rendirent compte d’une autre découverte en 1994, sa révélation fut annoncée dans un article de journal sous le titre :
 
Mystérieux Tunnel dans le Sphinx :


 
Des ouvriers réparant le Sphinx ailé ont découvert un ancien passage menant profondément dans le corps du monument mystérieux.
Le Directeur des Antiquités de Gizeh, M. Zahi Hawass, établit que, sans doute possible, le tunnel était très ancien. Toutefois, ceci est inexplicable : qui construisit le passage ? Pourquoi ? Et où mène-t-il…? M. Hawass dit qu’il n’avait pas l’ intention d’enlever les pierres empêchant le passage. Le tunnel secret se creuse un chemin dans la face nord du Sphinx, à peu près à mi-chemin entre les pattes étendues du Sphinx et sa queue.
L’hypothèse courante que le Sphinx est le vrai portail de la Grande Pyramide a survécu avec une surprenante ténacité. Cette croyance fut alimentée par des plans vieux de 100 ans élaborés par les initiés Francs-Maçons et Rosicruciens, montrant que le Sphinx était l’ornement surmontant un espace qui communiquait avec toutes les Pyramides par des passages souterrains en étoile.
Ces plans furent dressés à partir d’informations découvertes à l’origine par le fondateur présumé de l’Ordre de la Rose-Croix, Christian Rosenkreuz, qui, à ce que l’on prétend, s’introduisit dans “une salle secrète au-dessous du sol” et y trouva une bibliothèque d’ouvrages regorgeant de connaissances secrètes.
Les croquis furent tirés de l’information détenue par les archivistes de l’Ecole des Mystères avant le début du désensablement en 1925. Ils révélèrent des ouvertures secrètes menant à des salles de réception oubliées depuis fort longtemps, de petits temples et autres enceintes. (Ces plans sont inclus dans la section “Le Plan Principal” à la fin du livre.)
En 1935, la connaissance des Ecoles des Mystères fut renforcée par une série de découvertes remarquables qui fournirent la preuve de souterrains et de salles supplémentaires s’entrelaçant dans l’espace sous-pyramidal.
Le complexe de Gizeh présentait les éléments majeurs d’une construction intentionnelle, d’une structure unitaire avec le Sphinx, la Grande Pyramide et le Temple des hommes du Soleil reliés directement les uns aux autres, en surface et en sous-sol.
Ces quelques dernières années un séismographe sophistiqué et un équipement radar pénétrant le sol (GPR) établirent l’exactitude de ces plans. L’Égypte utilise aussi avec succès des satellites de pointe afin de repérer les cités enfouies sous la surface du sol à Gizeh et ailleurs.
Le nouveau système de repérage fut lancé début 1998 et permit de déterminer avec précision l’emplacement de 27 sites non encore fouillés sur 5 secteurs. Neuf de ces sites sont situés sur la rive Est de Louxor, les autres à Gizeh, Abou Rawash, Sakkarah, et Dashour.
Les clichés du secteur de Gizeh montrent une masse presque incompréhensible constituée d’un entrelacs de tunnels et de salles en réseau, se recoupant et s’entortillant réciproquement comme un treillis s’étendant à travers tout le plateau.
Avec cet important travail d’étude depuis l’espace, les égyptologues sont capables de déterminer l’emplacement d’un site majeur, son entrée probable et la taille des salles avant de commencer les fouilles.
L’attention est attirée sur trois lieux secrets : un endroit dans le désert à quelques centaines de mètres en direction de l’ouest/sud-ouest de l’emplacement originel de la Pyramide Noire, autour de laquelle on construit actuellement un ensemble d’enceintes de béton, haute de sept mètres et couvrant huit kilomètres carrés ; l’ancienne grande route qui reliait le temple de Louxor à Carnac; et le “Chemin d’Horus” à travers le nord Sinaï.
 
De gros titres d’actualités…


 
Chez les mystiques ou les membres des écoles de mystères Egyptiens, la tradition enseignait que la Grande Pyramide était importante à plusieurs titres. En dépit du fait que l’on n’y pénétra pas avant l’an 820, les écoles secrètes de l’Egypte pré-chrétienne maintenaient qu’elles en connaissaient bien le tracé intérieur. Elles n’avaient de cesse de prétendre que ce n’était en aucun cas un tombeau ou une chambre funéraire, à l’exception d’une pièce pour l’inhumation symbolique faisant partie du rituel initiatique.
Selon les traditions mystiques, on pénétrait progressivement à l’intérieur à des niveaux variés grâce à des passages souterrains. On dit qu’il y avait différentes pièces à la fin de chaque phase de l’avancée, avec le niveau d’initiation le plus élevé représenté par ce que nous appelons maintenant la Chambre du Roi.
Peu à peu, les découvertes archéologiques vérifièrent les traditions des Écoles des Mystères, et il fut établi en 1935 qu’il existait une connexion souterraine entre le Sphinx et la Grande Pyramide, et entre le Sphinx et l’ancien temple situé sur sa face sud (aujourd’hui nommé le Temple du Sphinx).
En 1935, au moment de l’aboutissement de très importants travaux de déblaiement de sable et de coquillages dirigés par Emile Baraize, qui durèrent onze ans, des histoires remarquables commencèrent à naître au sujet des découvertes réalisées.
Un article de presse, écrit et publié alors par Hamilton M. Wright, traita d’une découverte extraordinaire sous les sables de Gizeh, que l’on refuse aujourd’hui d’admettre. L’article était accompagné de photographies d’origine venant du Dr Selim Hassan, le directeur de l’équipe de recherches scientifiques de l’Université du Caire qui fit la découverte.
Il déclarait : …
Nous avons découvert un passage souterrain utilisé il y a 5.000 ans par les anciens Egyptiens. Il passe en-dessous de la chaussée menant entre la deuxième Pyramide et le Sphinx. Il permet de traverser la chaussée qui mène de la Pyramide de Chéops à celle de Khephren. A partir de ce souterrain, nous avons déterré une série de puits donnant accès, 125 pieds en contrebas, et de petites pièces et salles latérales.
A peu près au même moment, les médias internationaux publiaient davantage de détails concernant la découverte. Le complexe de connexions souterraines fut construit à l’origine entre la Grande Pyramide et le Temple des hommes-Solaires, car la Pyramide de Khephren fut une structure plus tardive et superficielle.
Le souterrain et ses salles adjacentes furent excavés dans le substratum rocheux ; une prouesse véritablement extraordinaire, si l’on réalise qu’il fut construit il y a des milliers d’années…
Il y a davantage à ajouter à l’histoire des salles souterraines de Gizeh, car les bulletins de presse décrivirent la découverte d’un passage souterrain entre le Temple des hommes-du-Soleil sur le plateau et le Temple du Sphinx dans la vallée.
Le passage avait été dégagé quelques années avant l’autorisation de publier cet article particulier. Les découvertes conduisirent le Dr Selim Hassan et d’autres à croire et à affirmer publiquement que, bien que l’âge du Sphinx ait fait partie des énigmes du passé, il avait pu appartenir au grand projet architectural qui fut organisé et exécuté à dessein en même temps que l’érection de la Grande Pyramide.
Des archéologues firent au même moment une autre découverte majeure. A peu près à mi-chemin entre le Sphinx et la Pyramide de Khephren on découvrit quatre énormes puits verticaux, chacun d’environ 3 m2 conduisant tout droit au fond du calcaire massif. Ces puits portent le nom de “Tombeau de Campbell”, sur les cartes maçonniques et rosicruciennes, et “ce complexe”, dit le Dr Selim Hassan, “se terminait par une cour close, au centre de laquelle une autre cheminée descendait vers une salle flanquée de sept chambres.”
 
Certaines d’entre elles contenaient d’immenses sarcophages de basalte et granit, scellés, de 6 mètres de haut !!!




 
La découverte avançait et, dans l’une des sept chambre, une troisième cheminée verticale menait profondément à une chambre beaucoup plus basse. Au moment de cette révélation, elle était inondée, l’eau recouvrant en partie un unique sarcophage blanc.
Elle fut appelée “Tombeau d’Osiris” et présentée par un montage documentaire télévisé de Mars 1999 comme étant “ouverte pour la première fois”. Explorant ce site en 1935, le Dr Selim Hassan déclara : Nous espérons trouver quelques monuments importants après avoir évacué cette eau. La profondeur totale de cette série de puits est de plus de 40 mètres soit plus de 125 pieds…
Lors du déblaiement de la partie sud du souterrain, on a trouvé une très fine tête de statue, dont chaque détail rend le visage très expressif.
Selon un autre article de l’époque, la statue était un admirable buste sculpté de la Reine Néfertiti, décrite comme “un bel exemple d’un style artistique rare apparu sous le règne d’Amenhotep.”
Aujourd’hui personne ne sait où se trouve cette statue.
L’article décrit aussi d’autres salles et chambres souterraines, toutes reliées par des passages secrets très décorés. Le Dr Selim Hassan révéla non seulement avoir vu des cours intérieures ou extérieures, mais aussi une pièce, qu’il baptisa “Chapelle de l’Offrande”, creusée dans un énorme affleurement rocheux entre le Tombeau de Campbell et la Grande Pyramide.
Au centre de la chapelle, trois piliers verticaux décorés forment un triangle. Ces piliers sont des points d’une haute importance dans cette étude car la Bible signale leur existence.
On peut en conclure qu’Ezra, l’auteur originel de la Torah (397 av. JC), connaissait le tracé souterrain des passages et des salles de Gizeh.
Ce modèle souterrain inspira sans-doute le schéma triangulaire autour de l’autel central des loges maçonniques. Dans Antiquité des Juifs, Josèphe, au premier siècle, écrivit qu’Enoch, figure de l’Ancien Testament, construisit un temple souterrain constitué de neuf salles. Dans un profond caveau à l’intérieur d’une des salles avec trois colonnes verticales, il plaça un lingot d’or de forme triangulaire portant l’inscription du nom absolu de la Divinité (Dieu).
La description des salles d’Enoch était identique à la celle de la Chapelle de l’Offrande sous le sable, juste à l’est de la Grande Pyramide.
Une antichambre ressemblant beaucoup à une chambre funéraire, mais “sans l’ombre d’un doute une pièce d’initiation et de réception” fut découverte plus haut sur le plateau, plus près de la Grande Pyramide, à l’extrémité supérieure d’un passage en pente, taillé profondément dans le roc sur la face nord-ouest de la Chambre de l’Offrande (entre la Chambre de l’Offrande et la Grande Pyramide).
Au centre de la salle se trouve un sarcophage de 12 pieds de long en calcaire blanc de Turah et une accumulation de récipients délicats en albâtre. Les murs sont admirablement sculptés avec des tableaux, des inscriptions et des emblèmes reprenant surtout la fleur de lotus. Les descriptions de récipients d’albâtre et de la fleur de lotus emblématique offrent un parallèle remarquable avec ce que trouva Sir William Petrie en 1904 dans l’atelier du temple au sommet du Mont Sinaï (Horeb).
On découvrit d’autres pièces souterraines, des salles, des temples et des couloirs, certains avec des colonnes de soutènement rondes et d’autres ornées de sculptures murales, portraits délicats de déesses magnifiquement vêtues.
Le rapport du Dr Selim Hassan décrivait d’autres portraits magnifiquement gravés et de nombreuses frises aux splendides couleurs. On prit des photos et un auteur et chercheur qui les vit, le rosicrucien H. Spencer Lewis se souvint qu’il fut “profondément impressionné” par les images. On ne sait pas où sont aujourd’hui ces rares spécimens d’art et ces vestiges, mais selon la rumeur, des collectionneurs privés les passèrents en fraude hors d’Egypte.
Ces détails ne représentent qu’une petite partie du rapport complet du Dr Selim Hassan qui fut publié en 1944 par la Presse Gouvernementale, au Caire, sous le titre Fouilles à Gizeh (en 10 volumes). Cependant, il ne représente qu’un fragment des édifices présents sous le terrain des Pyramides.
Pendant la dernière année du désensablement, des ouvriers mirent à jour la plus surprenante découverte qui fut relatée par les médias internationaux.
Les archéologues responsables de la découverte furent “déroutés” par ce qu’ils avaient sorti de terre : Une cité la plus merveilleusement organisée qu’ils eussent jamais vue. Elle est remplie de temples, de scènes pastorales peintes au pastel, d’ateliers, d’étables et autres bâtiments y compris un palais.
Pourvu de voies navigables hydrauliques souterraines, son parfait système de drainage rivalise avec d’autres équipements modernes.
 
L’intrigante question qui en découle est : où est aujourd’hui cette cité ?
 
Son emplacement secret fut récemment révélé à un petit groupe de personnes qui obtint la permission d’explorer et de filmer la cité. Elle est située au coeur d’un immense réseau de cavernes naturelles du plateau de Gizeh s’étendant loin en direction de l’est sous le Caire. Son accès principal s’effectue par des escaliers taillés dans la roche à l’intérieur du Sphinx descendant jusqu’à la caverne sous le lit du Nil.
L’expédition fit descendre des groupes électrogènes et des radeaux pneumatiques et circula le long d’une rivière souterraine qui menait à un lac d’un kilomètre de large.
La cité, blottie sur les rives du lac, est en permanence éclairée par de larges sphères de cristal présentes aux murs et au plafond de la caverne. On découvrit une seconde entrée de la cité au niveau de l’escalier qui mène aux fondations de l’Eglise Copte du vieux Caire.
D’après les récits d’habitants “vivant sous Terre”, relatés par les livres de la Genèse, d’Asher et d’Enoch, il est possible que cette cité se soit anciennement nommée Gigal.
On fit un court métrage de l’expédition, et un documentaire appelé Chambers of the Deep (Salles des Profondeurs) qui fut par la suite visionné de façon confidentielle. Au départ, il était prévu de présenter les séquences au grand public, mais, pour certains motifs, cela fut différé…
Un objet sphérique en cristal, à plusieurs facettes, de la taille d’une balle de base-ball, fut rapporté de la cité, et son caractère surnaturel fut prouvé lors d’une conférence récente en Australie. Profondément à l’intérieur de l’objet solide, divers hiéroglyphes tournent lentement comme les pages d’un livre quand celui qui tient l’objet en mains en fait mentalement la demande.
Cet objet remarquable révéla une forme inconnue de technologie et fut récemment envoyé à la NASA aux USA à des fins d’analyse…
Des recherches historiques du 20ème siècle relatent que de stupéfiantes découvertes eurent lieu à Gizeh et dans le Sinaï, dont on ne parle plus aujourd’hui, et des rumeurs égyptiennes abondent au sujet de la découverte d’une autre cité souterraine dans un rayon de 45 km autour de la Grande Pyramide.
En 1964, on découvrit plus de 30 énormes cités souterraines dans l’ancien royaume turc de Cappadoce. Une seule de ces cités contenait d’immenses cavernes, des salles et des couloirs que les archéologues estiment avoir appartenus à 2.000 propriétaires, offrant des conditions d’existence à 8.000 ou 10.000 personnes.
Leur existence même prouve de façon évidente que beaucoup de mondes souterrains attendent d’être découverts sous la croûte terrestre.
Les fouilles de Gizeh ont révélé des passages souterrains, des temples, des sarcophages et une cité souterraine qui leur est reliée, et la preuve que les passages souterrains reliaient le Sphinx aux Pyramides est une autre étape vers la confirmation que le complexe a été soigneusement et spécifiquement conçu dans sa totalité.
Démentis officiels…
Grâce aux fouilles du Dr Selim Hassan et aux techniques modernes de surveillance spatiale, les récits et traditions des anciennes écoles de Mystères d’Egypte qui prétendaient conserver la connaissance secrète du Plateau de Gizeh atteignirent tous le plus haut degré de vraisemblance.
Toutefois, l’aspect le plus énigmatique de la découverte des installations souterrainnes de Gizeh est le démenti répété de leur existence par les autorités égyptiennes et les institutions universitaires. Celui-ci fut si obstiné que les affirmations des Ecoles de Mystères furent mises en doute par le public et suspectées d’avoir été créées de toutes pièces aux fins de mystifier les touristes.
 
Le comportement formaliste est caractérisé dans une déclaration publique de l’Université de Harvard en 1972 :
 
‘’ Personne ne doit prêter la moindre attention aux revendications saugrenues concernant l’intérieur de la Grande Pyramide ou les corridors supposés ainsi que les temples, les salles sous le sable entourant la Pyramide, faites par ceux qui s’associent aux soi-disant cultes secrets ou sociétés occultes d’Egypte et d’Orient.
Ces choses existent seulement dans l’esprit de ceux qui cherchent à attirer les amateurs d’énigmes, et plus nous démentons l’existence de ces éléments, plus le public est conduit à supposer que nous cherchons à cacher volontairement ce qui constitue un des grands secrets de l’Egypte.
Mieux vaut ignorer toutes ces prétentions plutôt que de simplement les démentir. Toutes nos fouilles dans le secteur de la Pyramide ont échoué quant à la révélation de quelques passages ou salles souterraines, temples, grottes, ou autres choses du genre que ce soit, à l’exception du seul temple jouxtant le Sphinx.’’
Cette ligne stratégique aurait pu suffir à contenir l’opinion intellectuelle mais des déclarations officielles démentant formellement l’existence de temples jouxtant le Sphinx avait déjà été émises les années passées.
L’affirmation que chaque pouce de terrain autour du Sphinx et des pyramides avait été exploré en profondeur fut contredite quand le temple proche du Sphinx fut découvert dans le sable et finalement ouvert au public.
Sur des sujets échappant à la politique officielle, il devint évident qu’un haut niveau élevé de censure était appliqué de façon à protéger les religions et conceptions historiques tant occidentales qu’orientales.
 
Lampes perpétuelles…
 
En dépit de découvertes sensationnelles, l’absolue vérité de l’histoire primitive Égyptienne demeure méconnue dans une large mesure, d’où un territoire non cartographié.
Il est dès lors impossible de préciser le nombre de kilomètres de passages souterrains et de salles sous le Plateau de Gizeh qui furent éclairés, mais une chose est sûre : à moins que les anciens aient eu la faculté de voir dans l’obscurité, ces vastes espaces le furent forcément. La même question s’applique à l’intérieur de la Grande Pyramide, et les égyptologues s’accordent sur le fait que l’on n’utilisa pas de torches ardentes car les plafonds ne sont pas noircis.
D’après ce que l’on sait aujourd’hui, il est possible d’estimer à au moins cinq kilomètres de passages sur 10 à 12 étages. Le Livre des Morts et les Textes des Pyramides font tous deux des allusions frappantes aux “Constructeurs de Lumière”, et cette extraordinaire description peut s’appliquer à un corps de métier responsable de l’éclairage des zones souterraines de leurs complexes.
Jamblique rend compte d’un fascinant récit tiré d’un très ancien papyrus égyptien issu d’une mosquée du Caire. Il s’agit d’un extrait, par un auteur inconnu du 1er siècle de notre ère, comptant l’exploration d’un groupe de personnes qui parvint à l’entrée d’une des salles souterraines autour de Gizeh.
Ils décrivirent leur expérience :
‘’ Nous arrivâmes à une salle. Quand nous entrâmes, elle s’éclaira de manière automatique grâce à la lumière d’un tube de la hauteur d’une main d’homme étendue (environ 15 cm), situé à la verticale dans un angle. Comme nous approchions du tube, il brillait davantage…
Les esclaves furent effrayés et s’enfuirent en courant dans la direction d’où nous étions venus ! Quand nous le touchâmes, il s’éteignit. Nous fîmes notre possible pour que le tube brilla de nouveau, mais il ne donnait plus de lumière. Dans quelques salles les tubes lumineux fonctionnaient, dans d’autres, non.
Nous brisâmes l’un d’entre eux qui laissa s’écouler des perles d’un liquide argenté qui roulaient rapidement sur le sol jusqu’à disparaître dans les fentes (du mercure ?).
Au fil du temps, les tubes lumineux commençèrent progressivement à s’éteindre et les prêtres les enlevèrent pour les entreposer dans un caveau souterrain spécialement conçu à cet effet au sud-est du plateau.
Ils attribuaient la création de ces tubes lumineux à leur Imhotep bien-aimé, pensant qu’il reviendrait un jour les rallumer.’’
Une pratique courante des Egyptiens de l’antiquité consistait à sceller des lampes allumées dans les sépultures de leurs défunts comme offrandes à leur divinité ou pour accompagner les décédés sur la voie les menant à “l’autre rive”.
Parmi les tombes proches de Memphis (ainsi que dans les temples de l’Inde brahmanique) , on découvrit des lampes en fonctionnement dans des salles ou des récipients hermétiquement scellés, que la soudaine exposition à l’air libre éteignit ou provoqua l’évaporation du combustible.
Plus tard les Grecs et les Romains maintenirent cette tradition et même la consacrèrent; non seulement avec de réelles lampes, mais aussi par des reproductions miniaturisées de terre cuite, ensevelies avec les morts. Quelques lampes furent protégées dans des récipients cylindriques, et il existe des exemples pour lesquels l’huile d’origine fut retrouvée parfaitement conservée après plus de 2.000 ans…
Il existe des preuves évidentes, confirmées par témoins oculaires, que les lampes éclairaient tant que les sépultures étaient scellées, d’autres rapportant qu’elles brûlaient encore quand les caveaux furent ouverts des centaines d’années plus tard.
La capacité à composer un combustible qui se renouvelait de lui-même aussi rapidement qu’il était consumé fut source d’un différend considérable parmi les auteurs médiévaux, et de nombreux documents existent, avec des ébauches d’arguments.
Après avoir dûment constaté l’évidence même, il semble bien que les anciens prêtres-chimistes égyptiens possédaient, dans l’éventail de leurs compétences, celle de manufacturer de leurs mains des lampes qui brûlaient indéfiniment ou du moins pendant des périodes considérables.
De nombreuses autorités ont écrit sur le thème des lampes perpétuelles, et W. Wynn Wescott estime le nombre d’auteurs ayant pris ce sujet en considération à plus de 150 et H. P. Blavatsky à 173.
Bien que les différents auteurs parviennent à des conclusions variées, une majorité admet l’existence des lampes prodigieuses. Seuls quelques uns soutenaient que les lampes brûlaient éternellement, mais beaucoup voulaient bien admettre qu’elles pouvaient rester allumées plusieurs siècles, sans renouvellement du combustible.
On pensait généralement que les mèches de ces lampes perpétuelles étaient faites d’asbeste tressée ou enroulée, que les premiers alchimistes appelaient ” laine de salamandre”. Il sembla que le combustible fût un produit de la recherche alchimique, peut-être fabriqué dans le temple du Mont Sinaï.
Plusieurs formules de préparation de ce combustible pour les lampes furent sauvegardées. Dans l’œuvre profonde d’H.P. Blavatsky, Isis Dévoilée, l’auteur recopie deux formules compliquées, empruntées aux auteurs primitifs, d’un combustible qui “une fois fabriqué et allumé, brûlera d’une flamme perpétuelle en tout lieu de votre choix”.
Certains croient que les prétendues lampes perpétuelles des temples étaient des dispositifs mécaniques truqués, et l’on colporta des explications bien peu sérieuses.
Il existe en Egypte d’importants gisements souterrains d’asphalte et de pétrole et certains en concluent que les prêtres reliaient les mèches d’asbeste à un gisement pétrolifère par un conduit secret qui reliait une ou plusieurs lampes.
D’autres pensent que la croyance selon laquelle les lampes brûlaient indéfiniment dans les tombes s’explique par certains cas de vapeurs ressemblant à de la fumée qui se déversaient à l’entrée des caveaux nouvellement dégagés.
Des groupes qui y sont entrés par la suite, ayant découvert des lampes répandues au sol, assurèrent qu’elles étaient la source des vapeurs. Il y eut quelques histoires bien documentées au sujet de la découverte des lampes perpétuelles non seulement en Egypte mais aussi en d’autres parties du monde.
Montfaucon de Villars fit ce récit fascinant de l’ouverture du caveau de Christian Rosenkreuz. Quand les Frères entrèrent dans le tombeau de leur illustre fondateur 120 ans après son décès, ils trouvèrent une lampe perpétuelle éclairant brillamment dans une suspension au plafond. “Une statue en armure (un robot ?) détruisit la source de lumière quand on ouvrait la salle.”
Cela se rapproche étrangement des récits des historiens arabes qui affirmaient que des automates gardaient les galeries sous la Grande Pyramide.
Un récit du 17ème siècle donne une autre version de ce robot. Dans le centre de l’Angleterre, on découvrit un tombeau étrange contenant un automate qui bougeait quand un intrus marchait sur certaines dalles du sol du caveau. A cette époque, le différend Rosicrucien était à son apogée, aussi décida-t-on que le tombeau était celui d’un initié Rose-Croix.
Un campagnard découvrit le tombeau et trouva l’intérieur brillamment éclairé par une lampe suspendue au plafond. Comme il marchait vers la lumière, son poids fit glisser les pierres du sol et, instantanément, une silhouette assise dans une lourde armure commença à bouger. Elle se dressa de façon mécanique et frappa la lampe avec une baguette de fer, la détruisant et empêchant ainsi la découverte de la substance secrète entretenant la flamme.
On ignore combien de temps la lampe avait brûlé, mais le compte-rendu fait état d’un nombre d’années considérable…
 
Mais encore ;
Un archéologue égyptien admet que les pyramides contiennent de la technologie extraterrestre… Le 28 novembre 2010, dans une déclaration choc, le chef du Département Archéologique de l’Université du Caire, le Dr Ala Shaheen a dit à un auditoire : qu’il pourrait y avoir une théorie comme quoi les extraterrestre ont aidé les anciens Égyptiens à construire la plus ancienne des pyramides d’Égypte, comme celle de Gizeh (ou bien ces anciens Égyptiens étaient des aliens ?).
Interrogé par M. Marek Novak, un délégué de la Pologne lui a posé la question est ce que la pyramide pourrait contenir de la technologie extraterrestre, ou même un OVNI ?
Le Dr Shaheen, rerstant vague a répondu :
« Je ne peux pas confirmer ou nier, mais il y a quelque chose à l’intérieur de la pyramide qui n’est pas de ce monde ».
Les délégués à la conférence sur l’architecture égyptienne antique ont été choqués, mais le Dr Shaheen a refusé de commenter ou d’apporter des précisions sur l’ovni ou les extraterrestre.
Or, fait étrange, il y a plusieurs années, en 1961, les russes avaient lancés un projet, le projet Isis, afin de récupérer les connaissances cachées dans la grande pyramide. Ces connaissances auraient été stocker dans une bibliothèque appelé la chambre des connaissances.
Finalement les équipes russes auraient récupéré des documents ainsi que le corps d’un extraterrestre.
Beaucoup d’entre vous ont sans doute déjà visionné ce reportage, je ne me prononcerai pas sur la réalité ou pas de cette histoire, mais cela vient corroborer les dires du Dr Ala Shaheen, et aussi ce que beaucoup soupçonnent de longue date.
On sait aussi, mais beaucoup moins, qu’il existe également sous les pyramides un vaste complexe, et des vestiges gênants d’une science très avancée, comme le prouve le Nexus n° 33.
Extrait :
Le Sphinx et les Pyramides ne sont que la partie visible d’un fabuleux iceberg
Dans son étude célèbre, Des Mystères, en particulier ceux d’Egypte, de Chaldée et d’Assyrie, Jamblique, un Syrien du quatrième siècle très représentatif de l’Ecole d’Alexandrie dans les matières mystique et philosophique, rapporta cette observation au sujet de l’entrée de la Grande Pyramide par le corps du Sphinx :
Cette entrée, aujourd’hui obturée par le sable et les décombres, peut être retrouvée entre les pattes avant du colosse accroupi. Elle était autrefois fermée par une grille de bronze dont seuls les Mages pouvaient actionner le mécanisme caché. Elle était protégée par la vénération publique, et une sorte de terreur sacrée maintenait son inviolabilité mieux que ne l’aurait fait une protection armée.
Dans le ventre du Sphinx étaient creusées des galeries menant à la partie souterraine de la Grande Pyramide. Ces galeries s’entrecroisaient le long du parcours vers la Pyramide avec un tel art que, quiconque s’y engageant sans guide retournait inévitablement à son point de départ.
Les antiques cylindres scellés des Sumériens racontent que la demeure secrète des Anunnakis était “un lieu souterrain… où l’on pénètre par un tunnel dont l’entrée est cachée par le sable ainsi que par ce qu’ils nommaient Huwana… dont les dents sont semblables à celles d’un dragon, et la face, à celle d’un lion”.
Ce texte ancien remarquable, dont il ne reste malheureusement que des fragments, ajoutait que “Il (Huwana) ne peut ni avancer, ni reculer”, mais qu’en grimpant sur lui par l’arrière, le passage vers “la demeure secrète des Anunnakis” n’était plus bloqué.
Les notes sumériennes fournissent une description probable du Sphinx de Gizeh, et si cette grande créature était construite pour garder ou obturer d’anciens escaliers et des passages inférieurs menant aux parties souterraines au-dessous et alentour, alors, ce symbolisme était parfaitement opportun.
Ces quelques dernières années un séismographe sophistiqué et un équipement radar pénétrant le sol (GPR) établirent l’exactitude de ces plans. L’Égypte utilise aussi avec succès des satellites de pointe afin de repérer les cités enfouies sous la surface du sol à Gizeh et ailleurs.
Le nouveau système de repérage fut lancé début 1998 et permit de déterminer avec précision l’emplacement de 27 sites non encore fouillés sur 5 secteurs. Neuf de ces sites sont situés sur la rive Est de Louxor, les autres à Gizeh, Abou Rawash, Sakkarah, et Dashour.
Les clichés du secteur de Gizeh montrent une masse presque incompréhensible constituée d’un entrelacs de tunnels et de salles en réseau, se recoupant et s’entortillant réciproquement comme un treillis s’étendant à travers tout le plateau.
Avec cet important travail d’étude depuis l’espace, les égyptologues sont capables de déterminer l’emplacement d’un site majeur, son entrée probable et la taille des salles avant de commencer les fouilles.
L’attention est attirée sur trois lieux secrets : un endroit dans le désert à quelques centaines de mètres en direction de l’ouest/sud-ouest de l’emplacement originel de la Pyramide Noire, autour de laquelle on construit actuellement un ensemble d’enceintes de béton, haute de sept mètres et couvrant huit kilomètres carrés ; l’ancienne grande route qui reliait le temple de Louxor à Carnac; et le “Chemin d’Horus” à travers le nord Sinaï.
Il n’est nul doute, que dans les pyramides, et sous ces pyramides, existent bel et bien des secrets cachés par les autorités, nous vivons dans un monde de mensonges constant, la vérité de notre monde sur Terre, sous terre, et dans l’espace, est falsifié…Mais jusqu’à quand ?
Un mur autour des pyramides 
En 2002, de manière presque inaperçue par le public mondial, un vaste mur de béton, surmonté d’une grille, a été érigé autour du terrain de Gizeh. Dès le début, Armin Risi a observé la construction. Voici son premier rapport de la situation.
En mars 2002, j’ai entendu pour la première fois parler qu’un mur serait construit autour du plateau des pyramides et le terrain environnant. Des amis de retour d’Egypte, avaient vu les fondations ainsi que les premières parties du mur. Quand le petit groupe privé de touristes voulait suivre la ligne des fondations qui conduit jusqu’au désert, il en a été empêché par des gardiens armés.
On leur a interdit de faire d’autres photos, ce qui nous a tous rendus encore plus curieux. Qu’est-ce qui se passait ici ?
 
Un mur mystérieux, une cadence élevée de travail
 
Apparemment, tout d’abord ce sont les fondations qui ont été érigées environ ½ mètre dans le sol, entremêlées d’une suite d’une double rangée de tiges en acier (avec tous les 10 cm deux des tiges en face). Pourquoi ce mur en béton doit-il être tellement renforcé ? Et pourquoi sur une longueur de plusieurs kilomètres ?
Et pourquoi les premières parties du mur, ont-elles été érigées à des angles très éloignés du plateau ou ni des touristes ni même les gens du pays se rendent ? Est-ce que l’on voulait cacher le plus longtemps possible ce que l’on recherche par ici ?
La visite suivante en juillet 2002 montrait que le mur grandissait à une cadence alarmante. Ici, on travaillait 24 heures par jour ! Et au sommet du mur d’une hauteur d’environ 4 mètres, se dressaient des tiges en fer de 3 mètres.
Lors des visites en décembre 2002 et février 2003, on pouvait constater ce que cette construction signifiait : entre-temps le mur avait atteint le plateau des pyramides et sur les tiges en fer des grilles avaient été fixées.
En avril 2002 j’avais informé le chercheur bien connu, le professeur Jim Hurtak, de cette construction. A cette époque, il n’en avait pas encore entendu parler, mais il envoya un collaborateur qui confirma la chose et ramena de nombreuses photos. Sur son site web, le professeur Hurtak publia l’estimation que le terrain emmuré aurait une superficie d’environ 8 km2.
De plus, il relata que « l’installation du mur est tellement gigantesque que dans ce but quelques bâtiments et logements de village ont certainement dû être démolis et enlevés. De ce fait, il faut supposer que ce n’est pas seulement l’intérêt des touristes qui est en jeu.
Ce que nous avons ici est un plan plus grand, bien réfléchi qui inclut également les sites environnants et doit sécuriser probablement des tombes souterraines, tunnels et couloirs…etc
Le financement de ce mur viendrait des USA, il est question, entre autre, de “Stanford University“
Quelles sont les motivations ? On sait que pendant les dernières années, de nombreuses fouilles ont eu lieu sur le plateau de Gizeh. Ainsi, le sol a été « radiographié » par sonde acoustique et les pyramides étaient plusieurs fois fermées quelques mois. En février 2003, les trois pyramides étaient fermées aux touristes. Pour des travaux de rénovation !
Serait-on en train de faire des recherches à l’intérieur ? Ou les rumeurs concernant des souterrains et espaces sous le plateau sont-elles fondées ? Des fouilles sont-elles programmées dont le public ne doit rien savoir ?
Ce ne sont que des spéculations, mais en tout cas cela vaut la peine de garder sous surveillance cette région dans un proche avenir surtout par des chercheurs indépendants.
Armin Risi
Il paraitrait, selon plusieurs témoins, que depuis la construction de ce mur, les excavations en sous-sol vont bon train sur le site fermé et isolé des curieux, des bruits de grosses machineries sont également entendu, mais nul ne sait de quoi il s’agit réellement !
Une zone ou personne n’avait accès jusqu’à présent, a été découverte également, les États-Unis exercent une surveillance accrue sur une structure interne de la pyramide. La chose la plus étonnante est que dans cette salle découverte il y avait une signature thermique importante, de la chaleur … Et on mentionne la présence d’une «entité».
Des forces spéciales ont été déployées aux alentours, et aux environ des 22, 23 avril cette entité inconnue est apparut, très grande, et étant vêtue d’or, portant une coiffe d’oiseaux. En consultant nos amis de la Geomatrix Gizeh, il semblerait que ce soit Thoth !
Thôt :
Dans la mythologie égyptienne, Thot  Représenté comme un ibis au plumage blanc et noir ou comme un babouin, Thot capte la lumière de la lune, dont il régit les cycles, à tel point qu’il fut surnommé « le seigneur du temps ».
Inventeur de l’écriture et du langage, il est la « langue d’Atoum » et le dieu des scribes. Incarnation de l’intelligence et de la parole, il connaît les formules magiques auxquelles les dieux ne peuvent résister. Selon la légende, celui qui était capable de déchiffrer les formules magiques du Livre de Thot pouvait espérer surpasser même les dieux.
Le respect que Thot inspire lui vient de son savoir illimité. Toutes les sciences sont en sa possession : Il connaît tout et comprend tout. En tant que détenteur de la connaissance, il est chargé de la diffuser. C’est pourquoi il a inventé l’écriture. Les anciens égyptiens pensaient que le savoir et la connaissance leur avaient été transmis par des livres et des écrits que Thot avait volontairement abandonnés dans des temples.
Il préside à l’audition des morts au tribunal d’Osiris, et c’est Anubis qui pèse et juge les âmes en les comparant au poids d’une plume. Lors de son combat avec Seth, Horus perdit son œil, mais le retrouva par la suite grâce à Thot. Appelé « Oudjat », cet œil représente la victoire de l’ordre (légitime, Horus étant l’héritier du défunt Osiris) sur le chaos (Seth, qui perturbe l’ordre dynastique, et par conséquent l’ordre du monde).
On ne peut également s’empêcher de re-penser aux écrits et aux dires d’ Edgar Cayce !
Edgar Cayce, né en 1877 et mort en 1945, son œuvre est considérable. Elle se compose d’environ 14 256 lectures, c’est à dire, de consultations et d’analyses données au cours d’une sorte de sommeil très spécial, apparenté à une transe médiumnique.
« Bientôt viendra le temps des grands changements ; et dans trois endroits différents, on exhumera les archives atlantes. Le Temple de l’Atlantide surgira à nouveau. C’est alors qu’on mettra à jour le temple, ou plutôt la salle des archives en Egypte, ainsi que les archives qui avaient été cachées au coeur du pays atlante : elles pourront y être retrouvées (…) Ces archives forment un tout »
A propos de la découverte de cette salle des Archives en Egypte à Gizeh, Cayce dit encore :
« En ce qui concerne les archives (géo)physiques, il sera nécessaire d’attendre que s’accomplisse le temps de la désintégration de ce qui a été fait par les volontés égoïstes du monde. Car rappelez-vous que ces archives ont été réunies dans l’optique des changements mondiaux ».
Un autre homme, Giordano Bruno, fut lui aussi l’un des premiers à oser dire que l’univers était infini et qu’il existait d’innombrables mondes habités …
Giordano Bruno est le premier à postuler, contre la doctrine de l’Église de l’époque, résultat : Il fut brulé par l’église !!
À la lecture de sa condamnation au bûcher, Bruno commente : « Vous éprouvez sans doute plus de crainte à rendre cette sentence que moi à la recevoir. ». Le 17 février 1600, il est mis nu, la langue entravée par un mors de bois l’empêchant de parler et de crier, sur le Campo Dei Fiori et supplicié sur le bûcher devant la foule des pèlerins venus pour le Jubilé.
Tout semble lié au final, et tous les mystères et secrets qui nous entourent, aussi bien sur terre que sous terre, et même dans l’espace, seraient tous reliés par un fil mystérieux…
Il n’est nul doute, que dans les pyramides, et sous ces pyramides, existent bel et bien des secrets cachés par les autorités et protégés par des mercenaires à la solde de forces plus qu’obscures.
Nous vivons dans un monde de mensonges constant, la vérité de notre monde, sur Terre, sous terre, et dans l’espace, est falsifiée et mensongère… Mais jusqu’à quand ?
A vous de juger comme toujours…