mardi 18 octobre 2011

QUI EST SIMAO TOKO

Qui est Simao Toko ?

Il est né au début du siècle, en février 1918, dans le nord de l'Angola, à Kisadi Kibango.Il est âgé d'à peine trois ans, en 1921, lorqu'un prophète puissant en oeuvres et en paroles, Simon Kimbangu, lui fraie un chemin sur une terre desséchée.




Dès son plus jeune âge Simao Toko se rebelle face à l'enseignement colonial, et réclame qu'on restaure l'histoire noire de l'Angola. Le Mouvement dont il va prendre la tête s'appelle "Kitawala", et ses adeptes seront pourchasser par le pouvoir colonial belge au Kongo Belge.
Simao Toko sera arrêté et jeté en prison. Mais l'homme avait quand même eu le temps de fonder son Mouvement Religieux, qui s'étendait déjà du Kongo à l'Angola. Son emprisonnement n'empêchera pas la survie de ce Mouvement très structuré et fort solide. D'ailleurs le Kitawala organisa régulièrement des actions de résistance, de grèves, de désobéissance civile dans le Nord de l'Angola.
En prison au Kongo Belge, en 1950, Simao Toko et ses adeptes furent souvent maltraités et insultés ; or, il advint que lors de l'une de ces vagues d'insultes dont le chef belge de la prison, un certain "Pirote", était coutu-mier, Simao Toko leva ses mains et demanda aux belges de compter ses doigts (dix doigts), et il leur dit, c'est exactement le nombre d'années qu'ils vous reste ici chez nous ; je vous donne encore dix ans, pas moins, pas plus, pour quitter ce pays, dix ans ! Il ajouta que son armée les survolerait alors.

Cette histoire est bien connue partout en Afrique Centrale. Cela se comprend aisément, car des milliers de gens ont été témoins d'une chose exceptionnelle le 4 janvier 1959 (on arrivait bien au 10ème doigt de l'annonce de Simao Toko !). Ce jour-là des milliers de citoyens de la commune de Léopoldville [Kinshasa] - et beaucoup d'entre eux sont encore vivants aujourd'hui - ont vu quelque chose de si magnifique qu'aujourd'hui encore la date du 4 janvier est un jour férié public à Kinshasa pour commémorer cet événement. Voici ce qui s'est passé : le peuple kinois (les habitants de Kinshasa) se trouvait, à ce moment-là, en pleine rébellion contre les autorités coloniales belges. Mais ce jour-là reste mémorable, parce que des Kinois... des milliers de Kinois ont vu "les Chérubins" apparaître devant l'armée coloniale belge. Des milliers de citoyens de Kinshasa ont vu une armée d'environ un millier de très petits êtres, d'une taille d'enfant ou de nain, ayant des corps très imposants, très musclés. Ces petits êtres, à l'apparence humaine bien que très petits, étaient dotés d'une force exceptionnelle ; des témoins ont vu certains d'entre eux soulever des camions de 5 tonnes avec un bras !
L'armée coloniale belge ouvrit le feu sur ces Chérubins, mais ce fut sans effet aucun ! Terrifiée l'armée coloniale belge pris la fuite, et aussitôt, les petits êtres disparurent comme ils étaient apparus ! Ce jour, le 4 janvier 1959 est appelé à Kinshasa "le jour de Cherubim et Seraphim" !

Et quelques mois après cet événement incroyable, le 30 juin 1960, le Kongo belge accéda à l'Indépendance.
C'est donc exactement dix ans après la prédiction faite, en 1950, par Simao Toko, que les belges chassés furent également contraints de quitter le Kongo Belge, en 1960 !

A sa libération, Simao Toko reprit son bâton de pèlerin pour continuer sa mission en Angola. Son action aboutira au fait que les missionnaires protestants et catholiques iront à nouveau le dénoncer aux autorités coloniales, l'accusant de subversion et de prosélytisme auprès des Noirs, ajoutant qu'il faisait de la propagande politique afin d'inciter les Angolais à la rébellion. Dès lors, la vie de Simao Toko consistera essentiellement à s'efforcer d'éviter qu' on le tue. Il sera emprisonné en Angola, d'où les Autorités portugaises le déporteront en tout neuf fois ; il passera ainsi 12 ans de sa vie dans neuf prisons différentes ! Cet acharnement des autorités n'avait qu'un but : réduire son influence et anéantir son Mouvement Religieux. Tout cela en vain, le Tokoïsme continuant à se répandre avec succès.

Dès lors, les Portugais décidèrent de mettre sa tête à prix, ils envoyèrent Simao Toko aux travaux forcés indiquant le montant de la récompense offerte à qui pourrait et oserait le tuer.
Voici le témoignage du Pasteur Adelino Canhandi qui était cuisinier à Caconda où Simao Toko était aux travaux forcés au moment des faits, témoignage recueilli en 1994 :
« J'étais en train de cuisiner quand j'entendis une voix m'appeler, c'était Simao Toko. Une fois sorti dehors je fus surpris, Toko me demanda de rester là et d'observer, et il me dit une fois de plus le fils de l'homme sera éprouvé", alors je regardai curieusement. Un des gardes portugais vint vers Simao Toko et lui dit "Eh Simao, tu vois ce tracteur là-bas ? Il y a des mauvaises herbes qui l'empêche de tourner, va le nettoyer". Une fois Simao en-dessous du moteur du tracteur, le garde le mit en route ce qui activa automatiquement les grandes lames de l'engin. Simao Toko fut instantanément coupé en plusieurs morceaux. J'étais terrifié. Changeant de sens, le garde mit en marche arrière pour constater les dégâts, le deuxième garde qui était là faisait un signe de victoire, indiquant qu'ils avaient réussi. Puis je vis, avec les deux gardes portugais le corps de Simao Toko se recomposer et se lever. Je n'en croyais pas mes yeux, les deux portugais prirent la fuite. Depuis ce jour, moi et ma famille, sommes des fidèles de Simao Toko ».

C'est ce jour-là que Simao Toko révéla sa mission dans le cadre d'un plan Céleste.

En 1960, le Pape JEAN XXIII, en découvrant la présence sur terre de ce fils de l'homme, est prit d'un malaise. Trahissant un serment fait par le Vatican 10ans plus tôt, il décide de ne pas révéler le Troisième secret de Fatima. 40 ans plus tard, le 13 mai 2000, le Pape Jean-Paul II choisit délibérément de mentir à l'humanité impatiente de connaître enfin la teneur du Message de Fatima en divilguant un faux qui laisse sceptiques même les néophytes de cet extraordinnaire mystère.


Durant la période où il fut déporté pour la neuvième fois, lors de son séjour à Luanda, le Pape Jean XXIII dépêcha du Vatican à Luanda deux émissaires pour rencontrer Simao Toko et lui délivrer un message personnel. Un des deux émissaires tomba malade en arrivant à Luanda et dû être hospitalisé, l'autre fut reçu par Simao Toko, et il lui dit : «je suis un émissaire du Pape Jean XXJII, qui m'a personnellement mandaté pour vous posez une seule question : "Qui êtes-vous ?" ». Nous sommes alors en 1962 (deux ans après la date limite où le Vatican aurait dû divulguer le troisième secret de Fatima).

Simao Toko répondit ainsi : « Je suis surpris qu'une personne aussi haut placée que le Pape soit intéressée par ma personne au point de vous faire effectuer un voyage de 8.000 kilomètres, juste pour me rencontrer. La réponse que vous devriez donner à votre Maître se trouve dans la Bible, en Matthieu XJ, 2-6 ».

Voyons un peu ce qu'il y a dans ce passage de Matthieu : «Et Jean dans sa prison entendit les œuvres du Christ ; il lui envoya dire par ses disciples : Es-tu celui qui vient ?, ou si nous en attendons un autre ?" Jésus leur répondit : "Allez annoncer à Jean ce que vous entendez et que vous voyez : les aveugles voient, les boiteux marchent, les lépreux sont purifiés, les sourds entendent, les morts se relèvent, les pauvres sont évangélisés. Et magnifique celui que je ne scandalise pas. »
[La Bible, Nouveau Testament - Bibliothèque de la Pléiade, Mtt. XI, 2-6]

Au fait, Simao Toko, sachant que le Pape s'appelait "Jean", s'est tout simplement mis ici à la place de Jésus répondant à Jean... se mettant donc, à la place du Prophète qui répond à un homme. Et, le Jean, qui avait entendu parler des oeuvres du Prophète depuis sa prison, devient ici, le Pape Jean XXIII qui, depuis sa prison ("le Vatican") a entendu parler de ce Prophète noir. Intéressant n'est-ce pas ? Qu'attendons-nous pour en parler dans nos cours de religion ?

Après cela le Pape contacta le dictateur Portugais Antonio de Salazar. Et, le 18 juillet Simao Toko fut à nouveau déporté, cette fois-ci pas dans un coin isolé en Angola, mais au Portugal. Et pour ce faire un avion de la force aérienne portugaise fut utilisé. Abord de cet avion il y avait un prêtre catholique, des membres de la police secrète de Salazar (le PIDE-DGS), le pilote et le copilote. Leur mission était de voler au-dessus de l'Atlantique et de jeter Simao Toko de l'avion loin dans l'océan profond. Le rôle du prêtre catholique étant de briser par des prières les pouvoirs "magiques" de Simao Toko.

Selon les témoignages recueillis, au moment où les agents de Salazar allaient exécuter leur plan, Simao Toko ordonna à l'avion de s'arrêter... et l'avion s'arrêta, ne bougea plus, il resta totalement immobile ! Toutes les personnes qui étaient à bord commencèrent à demander pitié à Simao Toko. Ce dernier leva les mains vers les cieux, prononça quelques mots, et l'avion bougea à nouveau. Et, Simao Toko, devint au Portugal "un prisonnier politique exilé".

Il est intéressant de noter qu'il existe également beaucoup de témoignages de "miracles" faits par Simao Toko, comme ce fut le cas pour Simon Kimbangu.

A maintes reprises les hommes de Salazar tentèrent de tuer Simao Toko, mais en vain. Il était comme invulnérable, on pourrait inventer pour lui un mot nouveau : "intuable". A un moment donné, différents docteurs d'Europe furent invités au Portugal afin de faire une opération sur le corps de Simao Toko, sous le prétexte d'évacuer une soi-disant tumeur de sa poitrine ; cette intervention eut lieu dans un hôpital civil local. Les intervenants ouvrirent sa poitrine du côté gauche du centre de sa poitrine, et ils enlevèrent son cœur qui battait encore. Simao Toko resta là comme mort, son corps couvert de sang chaud. Son cœur fut mis dans une boîte métallique et emmené dans un laboratoire situé dans une chambre voisine. Il y fut examiné, et les docteurs n'y trouvèrent rien d'anormal, c'était un organe, un cœur normal. Or, ils l'avaient incontestablement tué dans cette expérience macabre. Ils furent donc terrifié quand ils virent Simao Toko se lever de la table d'opération, ouvrir ses yeux et leur dire, avec le corps ouvert : « pourquoi me persécutez-vous de la sorte ? Rendez-moi mon cœur ».
Et, selon les témoignages Simao Toko remit son cœur à sa place et ferma sa poitrine.

Simao Toko fut relâché, et annonça avant de rentrer en Angola que le règne du colonisateur était terminé, il rentra le 31 août 1974 en Angola, et un an plus tard, le 11 novembre 1975 l'Angola gagna son Indépendance du Portugal.
Durant les années suivantes, des milliers de personnes ont pu observer la grande cicatrice de sa poitrine, et des milliers de gens ont témoigné que c'était une vue horrifiante, qu'on voyait presque son cœur battre dans sa poitrine à travers cette énorme cicatrice.

Dans la nuit du 31 décembre 1983 au 1er janvier 1984, la mort de Simao Toko fut annoncée par les médias angolais ; à ce moment-là un tonnerre d'une force séismique et des pluies torrentielles éclatèrent au-dessus de Luanda, capitale de l'Angola. Des rumeurs circulèrent à Luanda disant que c'était les conséquences de la mort du Prophète.

Un homme, un homme fort de l'entourage du Président de la République d'Angola, Neto, homme qui avait férocement combattu les Portugais pendant 14 ans, était alors l'officier Commandant Paiva. Après avoir entendu que Simao Toko était décédé il se précipita vers l'endroit où le corps était exposé au public, il chercha son chemin à travers une foule de dizaines de milliers de gens, et arriva auprès du corps, alors il demanda la parole et dit : « ce n'est pas vrai que Simao Toko est mort, car il est invulnérable ! ». Or ce même officier avait reçu, 7 ans plus tôt, des ordres pour éliminer pour de bon Simao Toko.

Il témoigna à ce moment-là devant la foule qu'auparavant, sur ordre de Neto, il avait enlevé avec ses hommes Simao Toko, l'avait emmené à un endroit secret, où ils l'avaient méthodologiquement torturé à mort, agissant sur lui comme un boucher sur une carcasse de viande, qu'ils avaient sévèrement endommagé sa tête, puis ses bras et ses jambes, puis écarté sa poitrine de l'abdomen, ensuite mis le corps dans un grand sac et fermé le sac avec une corde, et enfin caché le tout dans un endroit fermé et secret. Puis, qu'après trois jours ils étaient retournés pour voir le sac et le corps, ou ce qu'il en restait, pour le prendre et le jeter à l'Océan pour les requins.

Or le sac avait disparu mais soudain ils entendirent, surplombant leurs voix, un bruit comme celui de nombreuses eaux et puis une voix dans ce bruit leur parla disant : « Qui cherchez-vous ? Je suis là» ... c'était bien Simao Toko, en chair et en os, vivant ; à sa vue ils s'étaient aussitôt enfuis en disant : « C'est Dieu, cet homme est Dieu ».

Et aujourd'hui le Commandant Paiva était là devant le corps de Simao exposé au public, et il refusait de croire que maintenant il était vraiment mort. Ceci se passait en 1984, donc, il n'y a pas tellement longtemps. Beaucoup de gens, encore vivant aujourd'hui, témoignent avoir tué Simao Toko, et l'avoir revu vivant après.

Autre événement assez surprenant survenu en Afrique, ce fut le témoignage du Pape Jean-Paul II, lors d'un séjour en Afrique centrale vers le début des années quatre vingt, car là, il aurait déclaré ceci : « Dieu est noir, Jésus-Christ est africain et il vit au nord de l'Angola ». Il y a quand même de quoi se poser pas mal de questions à ce sujet. On peut, en tout cas en déduire plusieurs informations à retenir, et notamment celle-ci : l'Eglise nous cache beaucoup de choses, elle nous ment le plus souvent et ne dit de la vérité que ce qu'il lui convient de nous dire... en résumé, elle manipule les masses à sa guise et uniquement au profit de ses intérêts à elle !

D'ailleurs, à propos de mensonges et tromperies, quel est le veritable troisième secret caché de Fatima?

Nul doute qu'un jour nous saurons cette vérité car comme il est dit "il n'y a rien de caché qui ne doit etre révélé un jour".

Pour plus de renseignement sur la vie de SIMAO TOCO, vous pouvez vous procurer le livre de Joaquim Albino Kisela "SIMAO TOCO - A Trajectoria de um Homem de Paz" éditeur: Editorial Nzila.
Ou contacter l'association ARCHIVE.

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Ba ndeko bokoki kotika ya bino makanisi awa